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Genvie
12 juillet 2020

Un monde explosé

 Bernard de la famille Lombard

 

Un monde explosé

 

 

 

 

essai

 

 

 

Éditions Imagine

 

 

Remerciements

Je remercie Fausto qui m’a fait un cours par téléphone sur l’actualité du journal officiel, Yann qui m’a briefé sur le corps des ingénieurs de l’armée américaine qui a saboté les digues du Mississippi et du Missouri pour provoquer les inondations de 2011 aux USA, puis qui trois semaines plus tard, écrivait aux agriculteurs pour leur proposer de racheter leurs terres dans le cadre de l’agenda 21. Et puis je bénis aussi tous les autres qui, au cours de nombreuses conversations ont aiguillé mes recherches.

 

Livre vendu 20 €

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Tél : 06 01 99 12 93

© tous droits réservés pour tous pays.

 

 

Introduction

 

      Au départ, ce n’était qu’une réaction aux ordres donnés par l’État. Pourquoi obéir à un groupe de gens si inconséquents, dangereux et sournois ? Alors le 29 février, j’écrivais l’histoire de ma grand-mère Élise puis la distribuais dans des boites aux lettres de mon quartier. Et comme je ne croyais toujours pas au scénario cov19 sans savoir pourquoi, je réétudiais les scientifiques du temps de Pasteur, tel Béchamp puis Tissot et d’autres, pour écrire dès le 19 mars mon premier « je médite sur le coronavirus » et filais le distribuer dans Lavaur. Une lettre des impôts m’incitait à leur répondre le 1er avril. Elle est dans l’annexe. Puis ce furent : « je ne crois pas au Coronavirus » le 5 avril où mon opinion était faite. « La gendarmerie n’a pas le vent en poupe » date du 19 avril, car je les avais vus mettre des amendes au rond point de la mairie, et un couple du quartier devait payer 135 € parce qu’ils circulaient tous deux à l’avant de leur auto pour aller faire des courses, alors qu’ils vivaient ensemble et dormaient dans le même lit. Ce genre de racket me semblait tout à fait intolérable. On était là en plein ridicule. Alors j’allais en porter un exemplaire dans leur boite aux lettres, mais au moment de l’y glisser, un gendarme courait vers moi et je la lui donnais en mains propres. Le 30 avril, après un pénible regroupement d’informations stressantes, je créais « l’agenda 21 ». Enfin, au matin du 6 mai, date de mon 68ème anniversaire super mémorable, j’étais invité en matinée à entrer au commissariat de police alors que je passais devant, puis convoqué l’après-midi à la gendarmerie où il m’était fait mention de n’avoir plus à glisser mes textes, j’en étais à 401, dans les boites aux lettres de ceux qui payaient des amendes. Seules celles des décideurs locaux étaient permises. Mon papier gratuit polluait, mais si j’en faisais un livre c’était bon, puisque les gens payaient et que je passais alors par le système. Du coup, j’indiquais à l’adjudant que j’allais publier mes écrits. « Le coronavirus est un leurre » a été créé dans la foulée. La présente introduction est entamée ce matin 11 mai 2020 ; et c’est le 1er juin, que j’ai débuté le travail sur le profit.

 

      Ce livre démontre l’histoire d’un mensonge inouï, utilisé comme alibi pour nous faire entrer entrer dans l’agenda 21 de l’ONU, qui doit mener les survivants à l’esclavage total en 2050. Il comporte aussi un volet spirituel qui explique la base, la cause réelle de cette opération terroriste.

 

 

Le volet matériel

 

 

Je médite sur le Coronavirus

 

coV19, nouveau cluster Toulouse

 

Je médite tout un tas d’éléments, qui me paraissent assemblés par des mains pas si invisibles que ça et que je m’efforce de mettre en perspective, aux fins de rendre évident un plan terroriste mondial.

 

A Lavaur, ça a commencé par l’émondage des cèdres du Liban du jardin de l’évêché. Le motif était de protéger la population. Une branche pouvait tomber sur quelqu’un et le blesser. Je me souviens avoir pensé en voyant les tronçonneurs à l’œuvre, qu’on ne craint pas d’abîmer la santé publique en lançant des guerres et des pollutions qui tuent des gens par millions. La semaine suivante, j’ai examiné les tranches des bois coupés et je n’en ai vu que des saines. Là dessus, il a fallu aller voter, puis la mairie a été fermée.

ov, cèdre émondé1cèdre émondé

 

Cov19, cèdre émondé, branchesOn voit bien ici que ces arbres étaient sains

Après, apparaissait le coronavirus, brevet franco chinois de 2003. Waouh ! Je venais de lire : "armes silencieuses pour guerres sans bruit". Tiens tiens, songeai-je : on y est ; car me revenait ici une parole de Alain Cotta sur Radio Notre Dame le 14.02.2011. Je l’avais notée sur un de mes carnets. Il disait ceci : le but du nouvel ordre mondial, Ils sont environ 50 000, est de ne garder que 250 à 350 firmes pour toute la planète. Sur le moment, je trouvais ça fumeux, mais comme Alain Cotta faisait partie de la trilatérale des Rockefeller, je me disais qu’il devait y avoir du vrai… Et du coup, je pensais tout de sui­te que le coronavirus allait servir à paralyser l’économie du pays pour nous ruiner et nous faire entrer de for­ce dans l’horrible dictature du Nouvel Ordre Mondial, (le NOM), de sinistre réputation depuis les années 3O, (lire : 1984 et le meilleur des mondes). Et là, une autre méditation naissait sur Sarkozy qui nous disait que qu’on le veuille ou non, on irait tous ensemble.

 

Puis des souvenirs me rappelaient que c’était en cours depuis longtemps : dès 1952, la CECA, Communauté Europé­en­ne du Charbon et de l’Acier, dévorait nos productions industrielles. Carmaux, Decazeville, Firminy, le Nord, la Lorraine. Tout ça n’existe plus. Puis en 1993, ils créaient la CEE : Communauté Économique Européenne pour, début 2002, supprimer le Franc, le Mark, la Lire, la Drachme, le Florin, l’Escudo, la Peseta, etc. Aujourd’hui, ils veulent nous faire croire que les banques sont en faillite et qu’il faut les renflouer, alors qu’elles n’ont jamais été aussi riches. En réalité elles possèdent le monde entier, puisqu’elles suppriment les capitaux remboursés et se gardent les intérêts et autres chargements. Et puis les dettes s’effacent sans souci car les richesses produites sont toujours là et qu’on peut redémarrer avec une monnaie abondante et gratuite pour tous. Disons que ça sert plutôt à vider les stocks de la surproduction et à dévaloriser les monnaies actuelles, très faciles à couler car elles n’ont ni l’or ni la confiance pour les garantir, et qu’il ne leur reste que les impôts exigés dans cette monnaie, la peur du manque et les menaces. La devise mondiale 100 % numérique qui permet de ruiner qui on veut, c‘est pour 2021 - 22, car en 1992 au sommet de Rio, l’agenda 21 y a posé le principe de la spoliation de tous nos biens ! Ce printemps 2020, cela commence par la faillite de toutes les banques du Liban en même temps. Or Carlos Gohn, ex patron de Renault Nissan, s’y est fait piéger...

Lire : l’illusion de la réalité de David Icke : 65 entrées pour Agenda 21 dans son INDEX.

 

      Mes lectures du moment me disaient la même chose à propos des virus qu’Antoine Béchamp, mort en 1908, qualifiait de microzymas. Il séparait les ferments en deux selon qu’ils étaient insolubles (les organismes vivants) ou non (leur production chimique). Et Tissot de prouver par la suite qu’ils sont pas ou peu contagieux car ils sont issus de nos cellules et prennent la forme qui convient à notre état mental et sanitaire. Ils changent d’aspect selon nos besoins. Vélo, bus ou auto, ils apportent aussi bien la santé, la maladie ou la mort. Cela explique pourquoi dans un couple, l’un attrape la grippe et l’autre pas, puisque aucun des deux n’a les mêmes besoins physiques et psy. Du coup, il faut s’en faire des alliés pour bénéficier de leur pouvoir créateur, au lieu de les massacrer comme le préconisait Pasteur. Il n’était qu’un imposteur avec ses germes qu’il fallait tuer au plus vite car il les prétendait permanents et issus de l’atmosphère, alors que ce sont nos cellules qui les fabriquent ! Or, par la suite jules Tissot énonce cette règle : « toute espèce bactérienne est une forme seulement provisoire de la matière vivante provenant d’un être organisé, animal ou végétal ». En outre, il pro­duit des photos à fort grossisse­ment qui prouvent le polymorphisme de la matière vivante en forme de colibacil­les ou d’haltères articulées. Il montre aussi que les maladies viennent des céréales (ex : de l’orge pour la diphtérie), ou d’un dérèglement organique souvent lié à la T° du corps (P.P. 90 à 93 du tome 1 de « savants maudits chercheurs exclus » de Pierre lance) ; et en ce moment du terrorisme mené par l’ONU et l’OMS qui font diffuser des fausses informations par nos gouvernements et médias, aux fins de mettre en œuvre l’agenda 21. Enfin Villequez a prouvé que nous sommes tousporteurs de ces germes vivants qui sont fatals aux plus faibles mais neutres ou profi­tables aux autres. Claude Bernard l’a dit autrement : « le microbe n’est rien, le terrain est tout ». Cela me rappelle les jaunisse, coqueluche ou varicelle que "j’attrapais"à l’école pour éviter une composition, mais que mes petits copains n’attrapaient pas, parce que ce défi les intéressait. Or aujour­d’hui, on nous sert le Cov19 comme dange­reux, alors que ce sont l’âge, les peurs, les croyances et les pollutions qui tuent ! 

Normalement, comme je viens de vous l’expliquer, les virus n’ont pas d’état stable, mais le Coronavirus si, puisqu’il est doté d’une couronne artificielle pour le maintenir dans son état nocif. Du coup ce qui compte, c’est la santé et donc de vivre sainement : exit le synthétique, donc vêtements et literie en laine ou en coton, les pieds souvent à la masse, pas de 4G ni de 5G ni d’OGM, pas d’électricité la nuit en tête de lit, pas de vaccins souillés ni d’additifs alimentaires ni de pesticides d’aucune sorte. Pas de stress, il détruit les résistances de nos corps. Et puis il y a l’eau de très mauvaise qualité, même à Lavaur, car on ne nous montre que des analyses chimiques, pas les mémoires contenues dans ses clusters, même s’il existe des méthodes naturelles pour la ré-informer, genre hydreva.fr, par exemple. Jacques Benveniste (1935 – 2004) l’a prouvé et c’est le mode d’action de l’homéopathie. Au final, en cas de problème, il y a des solutions : l’Azithromycine et l’Hydroxy Chloroquine. Ou une tisane d’Artemisia afra ou annua* durant sept jours : (jeter 5 grammes de feuilles sèches ou 20 grammes de feuilles fraîches dans un litre d’eau bouillante, puis couvrir et laisser infuser 15 minutes hors feu avant de filtrer. Peut être sucré ou accompagné de lait. Boire dans la journée. Ne pas réchauffer). Mais bon, avant de paniquer, renseignez-vous sur les statistiques réelles de morts par covid19 sur Lavaur... Et puis éteignez vos télés et lisez le journal officiel. C’est plus instructif.

* voir le NEXUS N° 119, novembre – décembre 2018, pages 46 et suivantes.

 Cov19 monnaie

  monnaie refoulée

 

      Alors, j’ai regardé vivre autour de moi et j’ai vu la terreur : en dehors des secteurs autorisés à travailler sans être malades..., la ville est vide, les magasins fermés, les entreprises aussi, deux personnes maxi à la boulangerie, les caissières mas­quées puis pareil dans les rues, les infirmières contagieuses, la monnaie aussi alors qu’elle est frappée dans un bactéricide, la mairie et autres administrations abandonnées, refus du personnel de la Poste de me laisser entrer, la suppression des marchés de plein vent pour finir de couper le lien entre producteur et consommateur puis imposer la bouffe assassine des malthusiens, le couvre feu (pour poser les antennes 5G, ou terreur guerrière ?), etc. Ça marche bien, le terrorisme d’État, surtout tant qu’il n’est pas perçu comme tel. En atten­dant, on peut se cons­truire une immunité béton : vitamine C, chlorure de magnésium (Delbiase), eau de Quinton et sili­cium organique, suer au sauna et au soleil. C’est moins cher qu’une mutuelle et mieux que la mé­decine officielle. Or en 21 jours, malgré la couverture effrayante de Match, les urgences sont déser­tées, certes au début pour éviter d’être contaminés, mais ensuite parce que les malades sont peu nombreux, que le public sait doper son immunité et comprend qu’il y a un bobard dans le script.

Quand je vois comment Big Pharma corrompt la science, aidé par les écoles et les facultés alliées aux politiciens et aux médias, je me dis qu’il est grand temps de se reconnecter pour partager des arts et des savoir faire. Nos ancêtres savaient mieux gérer leur santé que nombre de médecins ou pharmaciens actuels. Ces connaissances existent toujours. Il nous faut les partager.

 

La méthode

Nous allons voir le plan terroriste en six temps :

 

  1. L’État commande une arme silencieuse à un labo.

  2. Grâce à ses complicités planétaires, l’État sélectionne les lieux où il va la lancer. La région doit être très industrielle, bétonnée, goudronnée, peu de forêts et bien pourvue en CO2... En plus il faut qu’il y ait la 5 G ou des radars militaires, un marché de plein vent pour animaux et végétaux afin d’y diffuser ses poisons et créer un effet d’épidé­mie locale. Il faut aussi que les gens y soient pauvres, malmenés, à bout de forces et même parfois que leur paysage fasse envie aux riches. Ils rachèteront le quartier pour rien et s’en feront un coin de paradis (mais pour trente ans maxi…)

    Et comme ils conspirent à travers nos ambassades et des organisations internationales, de type G8, G20, CFR, table ronde, Bilderberg, RIIA, Trilatérale, etc, ils peuvent allumer plusieurs foyers très éloignés les uns des autres pour faire croire à une pandémie mondiale.

  3. L’État s’associe à des publicistes et à des médias pour lancer la terreur.

  4. Radars, 5G et cocktails guerriers aidant, les plus fragiles des vieux lâchent prise et meurent ; suivent les plus pollués par leur milieu électromagnétique : 16 wifi chez moi..., par l’électricité classique et les courants vagabonds de nos prises de terre, par le stress la peur et la colère qui les empêchent de dormir, et puis aussi par l’air et l’eau de mauvaise qualité, le glutamate, l’aspartame, les vaccins, le bruit. L’effet domino des tracas cumulés en tue d’autres. Ça enfle comme une boule de neige. C’est l’épidémie exagérée et mal gérée en France, car à Taïwan le Coronavirus n’a fait que six morts pour vingt trois millions d’habitants. Il faudra encore comparer avec les danois qui n’ont pas été confinés.

  5. Les médias rajoutent des tas de frayeurs en jouant sur les différents foyers avec des chiffres genre 4000 sur 60 millions, (une grippe normale), sur des peurs : les jeunes en meurent aussi, sur des interdits : pas de groupe de plus de 100 au début mais pas plus de 10 par la suite, sur des conseils : rester chez soi, ne pas se toucher, se parler de loin, pas de monnaie papier ni de chèques, mettre des masques alors que les mailles de l’homologué sont six fois plus grandes que le virus ! Multipliez votre taille et votre largeur aux épaules par six. Vous verrez que vous n’avez jamais eu d’aussi grandes portes. On a même des menaces floues : "et encore on ne vous dit pas tout". Le but est de favoriser égoïsmes isolement et disputes pour doper l’angoisse.

  6. L’État profite de la détresse produite pour donner des ordres visant à paralyser et miner le pays. Pendant ce temps, on fait de jolis coups en bourse qui baisse comme prévu au début et qu’on fait remonter en investissant de concert pour passer à la caisse vite fait. C’est un vol d’initiés, mais c’est tout à fait légal…

Il n’y a pas que les pauvres qui meurent de peur en cette occasion, des riches aussi quand ils consta­tent la faillite de notre société. Et comme ils ont plus à perdre, ils ont plus de lâchers prises, dont certains sont nés avant la guerre bactérienne, car ils ont les infos avant les besogneux. Ainsi, leur "mal a dit" est plus long que chez les pauvres, et aussi plus violent, car ils ont plus de données sur les réalités de ce monde explosé. Et comme ils n’ont pas forcément conscience de l’origine de leur mal être, c’est souvent manifesté par une maladie auto immune ou psycho­-soma­tique. C’est prouvé par Michel Moirot, par Ryke Geerd Hamer et par d’autres. Des chocs psycho­logiques font disparaître leur enthousiasme à vivre.

 

Avec une si puissante méthode, je ne donne pas cher du pays dans trois mois…

Je vous l’ai souvent écrit : l’État associé aux comploteurs mondiaux est notre pire ennemi, le plus fort, le plus sournois, le plus violent, le mieux armé et le plus riche aussi. Et puis quand on n’a que la peur comme horizon, on ne voit pas de solution pour évoluer dans la vie, mais juste de la peur. C’est alors facile d’imposer la monnaie truquée pour corrompre les ambitieux et soumettre les fragiles par la dépendance monétaire, les menaces et les cro­yan­ces aux fins de les envoyer tuer (soldats), soumettre, (banques), tromper (médias), contrôler (gendarmes), racketter (police, impôts), tricher (politique), dé­so­r­ien­ter (reli­gions, sciences, partis), endetter (administrations territoriales et ministères), et tant d’autres qui n’ont que le choix de se comporter en mercenaires de ce système odieux : subventionnés, fonctionnaires, agriculteurs, médecins, salariés, endettés, etc. Cela nous permet d’ignorer notre crainte du manque au lieu de l’affronter. Sauf qu’à ce régime, ceux qui possèdent des secrets sont en dan­ger et la paye des soumis n’est plus sûre (test de huit mois sans paie pour l’armée et les trésoreries municipales peu à peu supprimées). Il va falloir que bien des complices prennent leurs responsabilités s’ils ne veulent pas être broyés eux aussi.

      Coté État, ce n’est pas une une attaque du cov19, mais une guerre bactériologique assoce à une bataille de l’informa­tion pour terroriser. Ils l’ont perdue dès le 6 avril, mais ils la font durer, agenda 21 oblige. Les gens n’ont cru ni Kissinger ni la couverture de Match qui présentait le cov19 comme une grenouille bleue (la peur bleue), sur une viande rouge comme on n’en a jamais vue. Côté peu­ple c’est un cancer collectif provoqué par des chocs émotifs succes­sifs, suicide psychique voulu par des "zélites" qui sabotent tout, mais ardemment désiré par l’immen­se majorité de la population. Cela ne vaut plus le coup de vivre dans un monde si con ; alors on obéit aux or­dres des fourbes, on les devance et on en rajoute pour que ça aille encore plus vite. On a l’excuse de la peur du coronavirus, alors on y va à fond, d’autant plus puissamment qu’on est inconscient.

Or les piégés sont ceux qui sèment la panique, car ils sont inca­pa­bles de vivre sans esclaves et nuls en sciences humaines, plus précisément en ethos. Ils sont la cause et l’outil de l’effondrement, mais aussi les futures victimes de leurs combines. En plus ils ont fermé leurs ad­minis­tra­tions à la pre­mière alerte sans penser que tout est faux et sans consulter qui que ce soit, ce qui prouve leur incompétence, leur mépris et leur arrogance ! Ils vont devoir accepter de tout renégocier du contrat social. C’est une époque qui finit brusquement.

Car ces 300 milliards sont une arnaque pour des impôts en plus ; alors qu’ils ne sont qu’une contribution même pas obligatoire, puisque le code général des impôts n’a jamais paru au journal officiel et que du coup… il n’a pas force de loi ! En plus on pourrait créditer sans frais ni intérêts les comptes des perdants. La monnaie n’est qu’une écriture, c’est facile. Arrêtons de financer ces industriels du saccage, qui en plus nous font ennemis les uns des autres, tandis que que nous serions si heureux en alliés ; et créons notre nouvel art de vivre, respectueux de la Vie sous toutes ses formes. Nous allons voir plus loin que c’est facile.

 

Pour conclure

Nous savons à présent que 50 000 bas du front se suicident en effrayant les petits commerçants, en fermant nos administrations (mais on s’en passe très bien et c’est ce que veut l’ONU), en confinant les gens chez eux pour arrêter le travail et vider les stocks de surproduction, en renforçant la vente de produits nocifs à la santé, en supprimant les marchés de plein vent qui leur font une concurrence trop saine, en rendant plus difficile l’accès aux pièces et billets pour imposer leur monnaie unique de fascistes, aux fins de maîtriser les revenus de qui ils veulent, à commencer par ceux des commerçants ambulants, des maraîchers et autres producteurs d’aliments, d’artisanat et de cosmétique, etc. S’y ajoutent les menaces sur l’épargne, (ils veulent la rendre payante), et les placements, (projet de rogner les assurances vie), qui vont impacter même les millionnaires. D’ailleurs aux USA, un mouvement de milliardaires s’est créé pour les défendre. Après la disparition de l’épargne et des placements, l’ONU n’aura plus besoin de banquiers. Ils seront tous virés, puisque tout sera robotisé. Pauvres banquiers, qui après avoir volé le travail de milliards de gens pour les soumettre au système d’esclavage, vont se trouver abandonnés, quand la monnaie unique et numérique sera mise en place. Notez à ce sujet que les Rockefeller viennent de se dégager de leur secteur bancaire… C’est ainsi qu’ils mettent peu à peu en place l’agenda 21, lui qui prévoit une réduction drastique de la population mondiale et le pillage de tous nos biens. En plus ils organisent la pollution puis en accusent les peuples ; alors que parmi ces 50 000, peu sont élus pour survivre à ce coup là, en fait seules les vingt-cinq familles régnantes plus quelques amis, mais les places sont chères.... C’est prévu comme pour les tunneliers de jadis : un coup de massue ou un banquet empoisonné quand le tunnel est fini, mais avec des techniques plus actuelles. Même traitement sera réservé aux collectivités territoriales, ministères et autres représentants de la république, puisqu’ils ne serviront plus à rien et que les vrais maîtres du monde veulent tout pour eux. C’est fou ! D’autant qu’on peut obtenir une société facile à vivre pour tous, en réhabilitant la diversité.

 

Le Coronavirus est un leurre.

 

Le Coronavirus est à la fois une attaque des peuples et un leurre. C’est un tour de magicien, un miroir aux alouettes qui consiste à dire oh oh ! Regardez comme il est terrifiant, le Coronavirus ! On fixe notre attention effrayée sur un méchant "virus" qu’on n’a jamais vu et sur un nombre effarant de morts pas prouvées ; puis on reporte cette frayeur sur nos revenus et on nous oblige à ne pas travailler ou alors de chez nous ou à prendre des congés. Il faut faire la queue comme en temps de guerre, demander la permission pour sortir ou voyager, et même porter des masques comme autrefois le foulard ou le tchador sur la tête ! Le téléphone portable ne nous connecte pas tou­jours, les SMS sont "mis à jour", les cartes SIM aussi, le débit Internet dimi­nue, des gens en dénoncent d’autres. On a des salaires à 50 € la semai­ne dans des EPHAD, des avions de guerre se concentrent à Toulouse... Cela ressemble à un piège.

Et pendant ce temps, à l’Élysée, on fait passer des ordonnances pour supprimer nos droits dans tous les domaines : à noël 2019, le 26 décembre, tous les terrains de France sont nationalisés. Cela n’est pas passé, mais c’est l’intention. Le jour où cela passera, on ne pourra plus y cultiver ce qu’on veut. Depuis le 25 mars on peut réquisitionner votre toit et les parties commu­nes de votre immeuble pour y implanter la 5G et sa fréquence de flicage, et il en faut une tous les 100 mètres... Il y a la reconnais­sance faciale obligatoire dans les grandes écoles et les universités pour contrô­ler qui a droit à de l’information ou pas. L’État achète des centaines de drones pour nous espionner ou pire. Et puis les heures supplémentaires surtaxées c’est fini, pareil pour le travail le dimanche. Il n’y a pas de débat. C’est bien un piège.

L’info n’est ni à la télé ni sur les réseaux sociaux ou autres médias, mais dans les pages du journal officiel. Il y a des surprises tous les jours.

 

Et cela s’ajoute au fait que nous ne savions pas que la France a été vendue à la bourse de New York en 1947 et que cette dernière crédite l’État français de 98 millions d’Euros bloqués 7 ans, chaque fois qu’on déclare la naissance d’un bébé en France. Cette dette est créée ex nihilo et on doit la régler en payant des impôts avec du vrai travail. Nous ne savions pas que quand le fisc nous écrit avec la mention M LOMBARD BERNARD, qui est mon nom d’esclave, il a la même valeur que Mon Chien ou Ma Bagnole selon le droit maritime qui nous est appliqué. C’est pour cette raison que j’écris désormais mon nom sous la forme : Bernard de la famille Lombard. Et en plus, leurs courriers ni polis ni élégants contiennent toujours des menaces d’amendes !!! Nous ne savions pas que l’Élysée, la police et la gendarme­rie sont des sociétés privées, pareil pour les radars et les machines à sous du post stationnement. Nous ne savions pas que nos droits légitimes sont forclos depuis la ratification du référendum de Maastricht, le 10 décembre 1991 par 51,05 % d’imprudents qui ne se sont pas assez renseignés. Et Philippe Seguin de nous en expliquer les conséquences : nous avons cédé nos droits innés. Du coup nous n’avons plus de constitution, ni de lois, ni de monnaie à nous (cependant, le droit civil prévoit la possibilité de recréer notre constitution et même notre monnaie). En attendant, le pouvoir est à l’ONU – OMS, voire OMC. La CEE n’est qu’une façade. Et la liste s’allonge quand on apprend que l’URSSAF est une société privée depuis 2013.

Ca va ? Je vous en ai assez dit pour que vous vous rendiez compte de la fourberie de nos politiciens ?

 

À présent posez vous la question de savoir qui finance l’ONU, l’OMC etl’OMS, le FMI, la Banque Mondiale, etc ? Nous verrons plus bas qu’il y a tout lieu de croire en la guerre et au terrorisme perpétuels ; mais nous découvrirons aussi l’origine profonde de ces conflits, simples à réparer si on le veut. En attendant, nous savons bien qu’en politique il n’y a pas de hasard ; alors étudions le plan en cours d’exécution dont fait partie l’épisode Coronavirus :

 

L’agenda 21

 

L’opération Coronavirus, dont les phases de contrôle ont été présentées et répétées pendant cinq heures sous la forme de jeux de rôles filmés, en octobre 2019 à Davos, Suisse, est un affaiblissement voulu de l’économie mondiale, y inclus des pays occidentaux, pour provoquer la misère, la famine, et soumettre des milliards de gens. Nous allons donc étudier cet agenda 21 qu’on nous impose en tant que politique de sauvegarde de la biodiversité et du développement durable.

 

L’agenda 21 est créée lors de la conférence des nations unies (ONU) sur l’environnement et le développement, à Rio de Janeiro, au Brésil, en 1992. Elle est organisée par Maurice Strong, un canadien milliardaire du pétrole et du business qui se vante d’être capitaliste pour ses entreprises, mais collectiviste pour la protection de la planète. Accusé de corruption par rapport au pétrole de l’ONU, il fuit en Chine en 2006, où il mène une vie de pacha en complicité avec une partie de la famille Rockefeller. Je vous signale que Obama est mêlé à cette affaire.

 

Les mirifiques promesses de développement durable et de la biodiversité sont réservées à une élite restreinte. Par contre pour les peuples, elles cachent l’inverse : le contrôle centralisé mondial de toutes les terres, de toutes les sources d’eau, de toute les énergies, de toute notre alimentation et autres productions, et même de nos cerveaux, pour au final asservir toutes les populations de la planète ! Voici un court historique :

 

En remontant jusqu’en 1961, on trouve le président John Fitzgerald Kennedy qui reçoit le rapport Iron Mountain (montagne de fer), publié dans le New York Times et dont voici un court extrait :

- « lorsqu'il s'agit de postuler un substitut crédible à la guerre… «l'ennemi alternatif» doit impliquer une menace de destruction plus immédiate, tangible et ressentie directement. Il doit justifier la nécessité de prendre et de payer un «prix du sang» dans de vastes zones d’intérêt humain. À cet égard, les éventuels ennemis du sous-titré mentionnés plus haut seraient insuffisants. Une exception pourrait être le modèle de pollution environnementale si le danger qu’elle posait pour la société était réellement imminent. Les modèles fictifs devraient porter le poids d'une conviction extraordinaire soulignée par un véritable sacrifice de la vie non négligeable… Il se peut, par exemple, qu'une pollution grave de l'environnement puisse éventuelle­ment remplacer la possibilité d'une destruction massive par des armes nucléaires comme principale menace apparente à la survie de l'espèce. L’empoisonnement de l’air et des principales sources de nourriture et d’eau est déjà bien avancé et un premier coup d’œil semblerait prometteur à cet égard ; c'est une menace qui ne peut être combattue que par l'organisation sociale et le pouvoir politique ».

« Il est vrai que le taux de pollution pourrait être augmenté de manière sélective à cette fin… Mais le problème de la pollution a été si largement médiatisé ces dernières années qu’il semble hautement improbable qu’un programme d’empoisonnement délibéré puisse être mis en œuvre de manière politiquement acceptable ».

« Si peu probable que soient envisagés quelques-uns des ennemis possibles que nous avons mentionnés, nous 
devons insister sur le fait qu'il faut trouver une qualité et une ampleur crédibles si l'on veut que la transition vers la
paix se fasse sans désintégra­tion sociale. C'est plus probable, dans notre jugement, qu'une telle menace devra être
inventée ».

Et il n’y a pas qu’aux USA, qu’on veut polluer pour désigner l’humanité comme l’ennemi à abattre. En Europe on s’organise aussi, et le club de Rome, un satellite de la Table Ronde avec le groupe Bilderberg, la Commission Trilatérale et d’autres, est spécialement créé en 1968 pour exploiter le changement climatique fictif d’origine humaine et d’autres questions environnementales pour justifier l’agenda 21.

Rappelez-vous, mai 68, la soi-disant révolution montée heu..., par la CIA associée aux services secrets français ? Le très courageux De Gaulle qui n’en sait rien, fuit à Baden Baden se rassurer chez son copain Massu. Georges Pompidou qui négocie les accords de Grenelle avec Georges Seguy : 37 % de hausse des salaires pour les ouvriers de la métallurgie française, que la CECA se charge de saboter par la suite.

Puis Aurelio Peccei, un des fondateurs du club de Rome écrit en 1991 dans la publication de l’organisation : The first global révolution : « dans la recherche d’un nouvel ennemi pour nous unir, nous en sommes arrivés à l’idée que la pollution, la menace d’un réchauffement climatique, les pénuries d’eau la famine etc. cadreraient à merveille...Tous ces événements sont causés par l’intervention humaine… Le véritable ennemi, alors, est l’humanité elle même. »

Vous avez là, la preuve que nos "dirigeants" sont nos pires ennemis.

 

Voyons comment ça évolue : en 1997, Le lieutenant colonel de l’armée américaine, Ralph Peters, veut organiser le terrorisme. Voici ce qu’il écrit dans la revue de guerre de l’US Army :

« Nous entrons dans un nouveau siècle américain, au cours duquel nous deviendrons encore plus riches, de plus en plus puissants, et notre culture se fera encore plus meurtrière. Nous exciterons des haines sans précédent… Il n’y aura pas de paix. Durant tout le reste de notre vie, il y aura à tout instant d’innombrables conflits qui prendront des formes variables d’un bout à l’autre de la planète. Les conflits violents feront les manchettes de la presse, mais les combats culturels et économiques seront plus systématiques et, en fin de compte, plus déterminants. Le rôle effectif des forces armées américaines sera de préserver un monde sûr pour notre économie et ouvert à notre dynamisme culturel. Pour ce faire, nous devrons tuer beaucoup, (to those ends, we will do a fair amount of killing). Et pour mener à bien ces tueries, nous sommes en train de constituer une armée dont l’atout principal sera son système d’information ».

Il y a pourtant 50 millions d’américains à la soupe populaire … il a pas dû tout comprendre !

C’est cité par Jean Guisnel, dans délires à Washington, Paris Éditions La Découverte, 2005

 

Toujours en 1997, le DR Michel Coffman révèle au sénat américain, que le plan consiste à utiliser l’excuse de la protection de l’environnement pour confisquer la moitié des terres des États Unis. Du coup, le sénat ne vote pas l’agenda 21, mais il est quand même appliqué dans la plupart des États, sauf dans le Tennessee, l’Alabama et le Texas, où l’agenda 21 est soi-disant interdit.

 

Tout cela est coordonné par l’ONU, cheval de Troie de la dictature mondiale, qu’ils nomment eux-mêmes : la société post industrielle et post démocratique. Pour konrad Otto Zimmerman : « les droits individuels doivent laisser la place au collectif » ! C’est donc un système d’asservissement total. Or, ceux qui l’imposent chez eux ne sont pas tous conscients de ce qu’ils font, et vont se faire plumer aussi… Car la ruse est efficace : on fait croire aux populations que ce sont des plans locaux, alors que c’est coordonné à l’échelle mondiale. Tony Blair a dit lors de la session spéciale sur l’environnement de l’ONU de 1997 : « je veux que toutes les autorités locales du Royaume Uni, adoptent les stratégies locales de l’agenda 21 d’ici l’an 2000 ». Les locaux sont donc des obligés, pas des décideurs libres. De plus, un article du Global Biodiversity Assesment de l’ONU exige que la population mondiale soit réduite à un milliard. Ted Turner, le richissime américain des médias (CNN) qui finance l’ONU avec son allié Bill Gates, patron de Microsoft et de l’OMS, a même souhaité abaisser ce chiffre entre 200 et 300 millions ! Pfiou ! C’est énorme ! Et comment s’y prennent-ils ?

 

Eh bien par le contrôle permanent de la population (en cours), la permission pour avoir des bébés (en préparation), rediriger le but du sexe : le sexe sans la reproduction et la reproduction sans le sexe (en cours), la contraception accessible à tous (passé), l’avortement financé par l’impôt pour diminuer la population (en cours : des millions de vies en moins, pire qu’une guerre), cinquante mille bébés, enfants et adolescents disparaissent chaque année en France (en cours depuis longtemps), l’éducation sexuelle avec canalisation de la jeunesse comme outil du gouvernement mondial (en cours), le sexe et la violence inculqués par le divertissement (en cours), restructuration de l’enseignement comme outil d’endoctrinement et pour avancer le début de la puberté... (en cours), contrôler qui a accès à l’information (en cours), plus de temps dans les écoles mais sans rien y apprendre (en cours), formater des arrogants incapables se se ressourcer (en cours), les écoles comme plaque tournante de la communauté pour remplacer les parents (en cours), l’importance de la famille diminuée (en cours), le sport comme outil d’ingénierie sociale et de changement (en cours : esprit de compétition alors qu’on a besoin de solidarité), des livres disparaissent et on ne peut pas publier ce qu’on veut (en cours : des dizaines d’éditeurs sont rachetés et leurs catalogues revisités), des sites internet sont aussi effacés (en cours : notamment celui du système Robin de Jean Marc Flament), l’encouragement à l’homosexualité (en cours), on pratique l’euthanasie et la pilule de la mort (en cours, voir Rivotril), limiter l’accès à des soins médicaux abordables, pour rendre l’élimination des personnes âgées plus facile (en cours), abîmer la santé des gens par le stress, le travail, les guerres, la pollution, l’alimentation et l’allopathie (en cours : on a des millions d’handicapés à la créativité abîmée, qui sont une lourde charge pour la société et servent à limiter les places de parking en vue de supprimer les voitures dans les villes vers 2050), le personnel médical contrôlé de près et ses moyens dévoyés de l’objectif santé (en cours), le rejet de l’ancienne médecine d’entraide et ses alternatives plus récentes (en cours), nouvelles maladies difficiles à diagnostiquer et incurables (en cours), faire augmenter la T° terrestre pour justifier le réchauffement climatique (en cours : brûler d’immenses forêts en Amazonie en Russie et en Afrique pour augmenter le CO2 dans l’air et pour qu’elles ne produisent plus d’oxygène ; le but étant nous de nous asphyxier, au minimum de nous incommoder, pour nous faire payer l’oxygène accessible par des masques auxquels ils tentent de nous habituer. Pendant le confinement, des gens sont morts avec 1 à 2 % de dioxyde de carbone dans les poumons ce qui est anormal), suppression des remèdes contre le cancer (en cours depuis longtemps), provoquer des crises cardiaques comme une des formes d’assassinat (en cours), mentir, mentir, et encore mentir (en cours depuis toujours, exemple rigolo : en Tanzanie on s’est bien amusé des pastèques et du pétrole porteurs du Cov19), priver nos élus de leurs pouvoirs pour étouffer la démocratie (en cours : lire deux articles de Jean Lassalle : maires sacrifiés et une chambre d’enregistrement, dans son livre : aurore ou crépuscule résistons ! publié en mai 2020 au Cherche midi), des pouvoirs si malhonnêtes que leur sournoiserie ne suffit plus, et qu’ils ne peuvent s’imposer que par la dictature (en cours : on se demande même si ce ne sont pas eux qui font fabriquer et diffuser les 3 à 5 % de fausse monnaie, puisqu’on en a trouvé dans des distributeurs bancaires. Et là, on voit le but : dire : il y a trop de fausse monnaie, on la supprime. Vous devez tout payer par carte ; à la suite de quoi, comme Internet est ouvert aux quatre vents, un bon coup de Targuet II par-dessus, et il n’y a plus d’Euros en circulation. Il est possible que cette opération soit prévue dans le monde entier. Ils en ont l’expérience : le Vatican, ce qui a fait démissionner Benoît XVI. Et puis ils changent de méthode à chaque fois : le Liban : fermeture simultanée de toutes les banques, Chypre : pillage des comptes bancaires, la Grèce : magouilles fomentées entre une grande banque et les politiciens, l’Argentine : fermeture des banques, la Libye : saccage du pays), et du coup, il leur faut éloigner les autorités pour qu’elles soient incontrôlables et insaisissables (en cours), créer de fait la dictature mondiale (c’est acté depuis le discours de Emmanuel Macron du 17 mars 2020 où il a officiellement cédé à l’OMS les pouvoirs que l’article 16 de notre constitution de 1958 lui accordait), lire : Jennifer Halter : le petit livre de la Constitution française, publié chez First éditions en 2019. Et puis aussi : déclencher des crises sanitaires et économiques (en cours), organiser la pauvreté (en cours), des impôts très lourds pour stresser et soumettre (en cours depuis longtemps), des milliers de lois discordantes et opportunistes pour flouter la justice et la mettre au service des puissants (en cours : si floue qu’on se demande chaque fois si on a le droit de faire ceci ou cela, et c’est le but), construire des monopoles pour favoriser le pillage (en cours), mélanger toutes les religions et supprimer les anciennes (en cours), - à Lavaur, vous avez "la révélation d’Arès" rue Carlesse -, changer des mots clés dans les nouvelles Bibles (en cours), bidouiller les élections (en cours : en truquant les sondages et en privant de parole celles et ceux qui croient encore à la démocratie), mettre des fous ou des faibles à la tête de nos institutions (en cours), diviser par tous les moyens (en cours depuis longtemps), modifier lois pour promouvoir le chaos social et moral (en cours), l’encouragement de l’abus d’alcool et de drogues pour créer une atmosphère de jungle dans les villes (en cours, voir plus bas), la criminalité pour gérer la société (en cours), et donc abolition de la sécurité psychologique et physique (en cours), réduction de la prééminence industrielle des pays occidentaux (en cours depuis longtemps), migrations forcées pour arracher les gens à leurs racines sociales et les fragiliser (en cours), les restrictions sur le voyage (en cours, voir plus bas), plus de prisons en utilisant les hôpitaux comme prisons (en cours et en préparation), les cartes d’identité implantées pour nous piloter (en cours et en préparation), le contrôle et la production d’aliments de très mauvaise qualité avec semences OGM, engrais, pesticides et additifs alimentaires dangereux (en cours : 8 sociétés pour 100 % du cacao, 5 pour 75 % de la banane, 6 pour 66 % du sucre et 3 pour 40 % du café, sans compter ceux qui sont obligés d’employer des produits nocifs pour vendre à des filières efficaces, sans compter l’eau souillée qui arrose les récoltes, etc -), détruire la biodiversité pour avoir plus facile à contaminer les espèces qui restent (en cours), tout polluer (en cours), saboter nos efforts (en cours), enlaidir la musique, avilir la littérature et ridiculiser nos autres arts (en cours), défigurer nos paysages (en cours), accuser l’humanité pour pouvoir la saccager (en cours, voir plus haut le réchauffement climatique), tout uniformiser pour gommer les points de repère de la conscience et rendre la créativité plus difficile (en cours), effacer les valeurs humaines en limitant à l’argent le discours sur la bonne marche du pays (en cours), breveter les principes actifs des végétaux puis interdire l’accès gratuit à ces plantes (en cours : exemple l’artémise de l’Artémisia annua), stériliser le sol avec les labours profonds, les engrais et les herbicides pour à terme nous affamer (en cours), contrôle de la météo (en cours : avec inondations, sécheresses, tornades artificielles et même des tremblements de terre), contrer tout ce qui rassemble (en cours : réunions limitées à 10, même pour les randonnées !), endetter les peuples à outrance (en cours), rendre les gens prévisibles en les asservissant à des tâches répétitives (à venir), une seule monnaie robotisée et très rare (à venir), automatiser les tâches pour mettre le plus possible de gens au chômage (en cours depuis longtemps : 40 % des emplois actuels sont robotisables), ruiner les entreprises locales en leur imposant une concurrence déloyale (en cours : importer des produits faits par des esclaves et confier les Travaux Publics à des entreprises qui ont leur siège social à Bruxelles, paradis fiscal au cœur de l’Europe, ce qui est une honte), les menaces intransigeantes d’amendes, de ruine et de prison pour entretenir la peur qui paralyse (en cours), supprimer les libertés dans le monde entier (en cours), obligations et interdits très fréquents pour systématiser notre obéissance (en cours depuis longtemps : les obligations et interdits dans tous les domaines de la vie, les panneaux routiers, les courriers des administrations, etc.), la constante répétition des points clés de l’agenda 2050 pour faire croire en leur fatalité (en cours : exemple : aux fins d’éliminer les voitures des villes vers 2050 on les rend encombrantes en limitant voire en supprimant le stationnement naturel, et on les déclare polluantes), organiser notre soumission énergétique (en cours depuis le rejet du pétrole synthétique de Jean Makhonine et de l’énergie libre de Nicolas Tesla), la recherche scientifique falsifiée (en cours depuis longtemps), brouiller les pistes de la connaissance (en cours depuis très longtemps), l’utilisation du terrorisme (en cours), imposer de cuisants échec aux peuples puissants (en cours : pour la France, lire : le choix de la défaite de Annie Lacroix-Riz, publié chez le temps des cerises), des guerres permanentes qui tuent les gens par millions (en cours), des attentats sous faux drapeau pour user les peuples par la peur (en cours), les médias pour tromper et abrutir (en cours depuis longtemps : la plupart des journaux, magazines et éditeurs appartiennent à quelques milliardaires), supprimer la vie privée (en cours), les ondes électromagnétiques - linky, wifi, 5G – rayons x et la pollution atomique pour contrôler nos cerveaux (en cours), le fluorure de sodium dans l’eau pour scléroser la glande pinéale qui nous met en rapport avec le cosmos (en cours), les radio band à l’entrée des résidences fermées pour savoir qui y entre et qui en sort (nouveau), plus tout ce à quoi vous pensez et que je n’ai pas trouvé ; plus les secrets bien gardés, tel celui des camions qui circulaient la nuit pendant le confinement, avec des missions précises pour transporter je ne sais quoi dans des zones militaires par ailleurs interdites de survol, etc. Au final : empêcher l’humanité de vivre. C’est toute l’humanité qui est sabotée, preuve à mon sens, que ceux qui sont aux commandes de ce génocide ne sont pas des humains…

 

Alors, on peut encore se demander : mais comment font-ils par exemple pour développer la criminalité ? Eh bien on a une des multiples réponses possibles dans un magazine de guerre qu’on trouve partout : RAIDS. Dans le N° 405 de avril 2020, on lit page 18 : des trafiquants, ainsi que les ballots de drogue, récupérés par l’Anti Drug and Smuggling Unit, le la Mauritius Police Force, sont exfiltrés (inversion : il faut lire infiltrés), par voie aérienne. Ici un des trois hélicoptères de type Alouette de l’Hélicopter Squadron. Ces hélicoptères sont siglés : Govt Of Mauritius. Page 22, on voit un zodiac siglé COAST GUARD. Cet entraînement se passe donc comme si on n’était déjà plus en France, puisque tout y est américanisé. En plus on est fondés à se demander : que deviennent ces trafiquants et ces ballots de drogue après l’exercice ? Ne servent-ils pas à pourrir les mauriciens pour ensuite les accuser d’êtres des minables et les exterminer ?

 

Évacuons l’idée que c’est un changement d’époque naturel, comme le passage de l’âge de fer à l’âge d’or, de l’ère du poisson à celle du verseau, ou d’une révélation qui remplace peu à peu l’ancien monde par un nouveau. Ce n’est même pas un Ragnarök germanique qui prédit la totale destruction de tout pour renaître bien plus tard. Non, c’est une très forte diminution de la population mondiale qui se finit par la brutale mise en esclavage de ceux qui restent, dans un milieu dévasté. Ce plan, c’est entre autres : la fin des souverainetés nationales (acté par le discours de Macron, le 17.03.2020), les enfants élevés par l’État, la destruction de l’enseignement, les emplois imposés (pas le choix), toutes les possessions transférées à l’ONU, la dépopulation massive (des milliards de morts sur les 30 ans à venir), puis, comme c’est prévu dans l’agenda 2050 des Rockefeller, des petits logements surveillés imposés aux survivants mutés en esclaves afin que ce soit très inconfortable d’avoir des enfants (ceux approuvés par Bloomberg, trois fois maire de New York, font 27 m2 et on en construit de plus petits à Barcelone) ; et cela dans des zones de peuplement très denses elles aussi fliquées (pas le choix). Pas de moyens de transports individuels autorisés telles que nos motos et voitures. Tout cela est publié sur Internet, avec même les futurs emplacements des villes, les autoroutes, les voies ferrées, et surtout les immenses espaces interdits aux esclaves qui n’auront plus accès à la Nature. Et bien sûr, il y aura des restrictions majeures sur les déplacements. Exemple du premier essai en France : sorties limitées à 100 kilomètres de chez soi à partir du 11 mai 2020, limite calculée selon l’indice Cov19 truqué et impossible à contrôler par la communauté concernée ; et aussi du 11 au 15 mai puis du 18 au 20 mai, le coupon SNCF « accès train serein » qu’il faut télécharger sur son site, ce qui revient à déclarer son déplacement, sans compter que ceux qui n’ont pas Internet sont lésés.

 

Alors, est-ce assez pour vous convaincre que l’humanité toute entière est la cible de quelques illuminés (25, voir plus bas) qui nous font un coup d’État mondial ? Qui peut prétendre bien s’en tirer encore cette fois ? A mon avis, même pas un de nos ministres !

 

Des monnaies plus intelligentes

 

Vous le savez, tout passe par l’argent, principal système d’aliénation ; et s’il y a tant de gens qui souffrent, c’est parce que l’État et les banques organisent l’oppression et la pauvreté en multipliant les rackets tout en limitant la monnaie disponible. Or, le système Robin permet de se passer de charges, taxes, impôts et amendes. L’immense pillage subi n’est donc pas une fatalité. On peut supprimer ce système d’esclavages par la dette, mais pour l’instant on préfère commenter le saccage !!! Vous trouverez sur YouTube des vidéos de son créateur, Jean Marc Flament. Son site a été supprimé après son décès d’un cancer généralisé à l’été 2016 et c’est bien dommage qu’il ne puisse plus nous accompagner. Ceci dit, j’avais eu un riche échange avec lui et avec François Xavier pour la Théorie Relative de la Monnaie. Le voici :

 

Moi : Il est 4 h du matin. J'ai du mal à faire le point sur la 7eme rencontre des monnaies libres à Laval. Avant de partir, j'avais commencé à comparer le Systè­me Robin, (noté ci-après SR), et la Théorie Relative de la Monnaie, (notée ci-après TRM), que j'avais étudiée sur le net, et que je pratiquais sur le site de Merome : Monnaie M ; mais en y allant, j'avais le SR en tête.

Jean Marc Flament pour le Système Robin : Bonjour Bernard. Tout d’abord un grand merci pour ton travail d’ana­lyse, ta recherche du système monétaire le plus juste et hu­main possible et pour la diffusion du concept du SR. Je te li­vre mes réflexions paragraphe par paragraphe.

Moi : Comme promis, j'en ai parlé. La première fois, c'était en cours avec Philippe Derudder. Lui, il est pour les monnaies locales et rendre la création monétaire à l’État, mais cela ne me plaît pas. La seconde, c'était pendant une pause, c'est tombé à plat, pof ! Éjecté.

François Xavier pour la TRM : Je suis d’accord avec le fait que redonner à l’état le monopole de la création moné­taire n’est pas une bonne solution car elle ne résout abso­lument pas le problème de la création monétaire asymétrique.

Jean Marc Flament pour le Système Robin : J’en avais parlé aussi avec Philippe. Il m’a dit qu’il considérait le SR comme un aboutissement mais que des monnaies locales ou le système monnaie pleine des Suisses ont beaucoup plus de chances d’aboutir et pourraient conduire à plus long terme vers le SR. La question est de savoir s’il faut attendre que les politiques dévoient à nouveau le système pour en arriver à la conclusion qu’il faut leur retirer tout pouvoir concernant la création monétaire.

Moi : Par contre, le soir du repas, au restaurant du rond point au centre ville à Laval, j'ai pris le micro et j'ai demandé à l'assemblée ce qu'elle pensait du SR.

Stéphane Laborde a repris le micro et a répondu, me donnant ma chance :

- encore faudrait-il savoir ce qu'est le SR »

Alors, j'ai expliqué avec mes arguments habituels. La salle écoutait, cela se passait bien.

Mais Stéphane a voulu réagir. On lui a ramené le micro. Il a dit qu'il y a des asymétries, que cela ne peut pas marcher à cause de sources différentes de création monétaire, que le SR créerait trop de tensions entre intérêts contraires. En effet, les banques personnelles du SR s'opposent aux ennemis des peuples, à savoir les États et certaines entreprises .

Jean Marc Flament pour le Système Robin : qu’en­tend t-il par sources différentes de création monétaire ? La source est toujours la même : la banque logicielle avec des programmes différents selon qu’il s’agit de personnes physi­ques, d’institutions publiques, d’entreprises ou d’associations, ce qui est normal, puisque les besoins sont différents. Il y a bien sûr des modes différents de création monétaire (Revenu de base, crédit sans intérêts et récompenses de la monnaie so­lidaire.) mais chacun est justifié par des besoins concrets : li­berté individuelle et garantie contre la pauvreté pour le RB, (revenu de base), relance de l’économie grâce à la dotation des institutions et le crédit sans intérêts et réparation des dé­gâts provoqués par le système actuel pour la monnaie solidai­re. Le SR est le seul système global qui se préoccupe de ce dernier point (en dehors de certaines monnaies locales) qui me semble fondamental car toute cause produit des conséquences. Par exemple les frustrations provoquent la radicalisation, l’ex­ploitation des peuples provoque l’immigration. Pour moi, la TRM n’est qu’un outil mathématique sans lien avec le réel.

Que les banques personnelles du SR s’opposent aux en­nemis des peuples, les États et les entreprises financières est exact mais pour moi c’est une qualité.

Moi : On est de suite passé à d'autres sujets, sans que le mien soit épuisé. Dans la soirée, j'ai pensé au fait que le SR ne gère pas les rapports entre générations, comme le fait si bien la TRM.

Jean Marc Flament pour le Système Robin : Je ne comprends peut-être pas tout… Je sais que Stéphane Laborde prétend garantir le même pouvoir d’achat à chaque génération mais peut-il prévoir la masse monétaire globale (toutes mon­naies comprises) et l’évolution des prix des biens et services ? Le prix du pétrole peut passer du simple au triple ou même décupler en 80 ans, ce qui aurait des effets à la hausse sur toute une série de produits, donc diminuer le pouvoir d’achat. A l’inverse de nouvelles technologies peuvent apparaître en 80 ans et réduire considérablement les coûts de production.  Des guerres peuvent éclater, la spéculation faire exploser les prix des matières premières agricoles. L’immobilier peut être en crise, la location d’un logement peut passer du simple au double. En réglant le montant du revenu de base sur le coût de la vie, je pense être beaucoup plus près de la réalité. Ou alors, il faudrait m’expliquer comment Stéphane Laborde règle ces fluctuations.  

Moi : Dix jours plus tard, j'en ai parlé au téléphone avec Benoît Lavenier qui lui considère que les DU (dividendes universels) qui varient en fonction de l'âge ne sont pas scienti­fiques, et que l'ensemble fait flou. Il préfère un système dé­centralisé ; et surtout, il pense qu'au mieux cela conduirait au même résultat que la TRM alors que cette dernière est plus avancée, et que cela lui prendrait trop de temps de tout com­parer, qu'il faut concentrer l'énergie pour avancer et avoir au-moins une monnaie libre. Là je suis d'accord ! Et puis la TRM est neutre précise et sûre.

Jean Marc Flament pour le Système Robin : que le RB (revenu de base) du SR ne soit pas scientifique, je ne le discute pas. Mais la science n’est pas encore en mesure de calculer l’effet papillon ni les effets de la spéculation sur les monnaies. Par ailleurs, il faut s’entendre sur ce qu’on appelle un système décentralisé. Pour moi, le SR est décentralisé au maximum et pas la TRM si celle-ci n’exclut pas l’impôt. Il me manque peut-être encore quelques informations sur la TRM pour juger si elle est neutre, précise et sûre. Moi aussi je suis d’accord pour dire qu’il faut au moins une monnaie libre. Mais il faudrait définir le concept.

Moi : Cependant, à mon stade, si je suis bien décidé à participer à la première monnaie libre opérationnelle en DU, il me faut suivre ma réflexion. j'ai besoin de me caler sur ce sujet. Le SR me fait rêver, la TRM aussi. Les deux donnent à voir qu'il y a des plans bien plus beaux que le système ban­caire, obsolète et nuisible. Cet épisode m'incite à avancer d'un cran.

François Xavier pour la TRM : Je précise que je suis en train de découvrir le « SR » depuis qu’il a été évoqué au restaurant le rond-point. Ce Système Robin me parait à pre­mière vue très compliqué voire impossible d’adapter un systè­me aussi lourd. Cette solution aussi séduisante qu’elle peut te paraître va s’opposer aux résistances de ceux qui tiennent la création monétaire. Une monnaie libre sera plus « rapide » à mettre en place.

Remarques comparatives :

On n’a pas attendu que Microsoft libère son code pour développer des systèmes d’exploitation et logiciels libres.

Le minitel (système centralisé contrôlé par un opéra­teur) a été remplacé en environ 2 ans par internet (système dé­centralisé)

Jean Marc Flament pour le Système Robin : nous sommes bien d’accord.

Moi : 7 h 15. Bon, je fais fumer le café, parce que j'ai très mal dormi cette nuit, ce qui n'est pas habituel. Je n'arrive pas à lâcher la réflexion. Alors, faisons la comparaison entre les deux modes d’accès à la monnaie pour voir ce qui en sort :

Du point de vue symbolique : le SR est une compilation d'idées, alors que la TRM est une théorie mathématique.

Jean Marc Flament pour le Système Robin : plutôt qu’une compilation d’idées, je dirais une réponse aux besoins sociaux, économiques, écologiques et humanitaires de notre société.

Moi : Les DU / mois : Chez SR, il évolue tout au long de la vie (de 200 à 2000). Ce sont des choix qui en décident. Dans la TRM, le DU se calcule à partir d’une formule mathématique. On a donc un invariant.

Jean Marc Flament pour le Système Robin : com­ment peut-on être assuré que ce DU soit suffisant pour couvrir tous les besoins ? Comment calcule t-on la parité de la TRM avec les autres monnaies dont la masse monétaire peut explo­ser ?

Moi : Les deux rénovent notre compétitivité face au reste du monde gros avantage au SR, car il sort les banques et l’État de ses flux ; ce qui réduit très fort le coût de la vie.

Côté ambition : la TRM se fonde sur M3 Europe, car elle vise à unifier les revenus de la zone Euro, afin d'éviter les délocalisations et les migrations ; mais on débute par la France. Rien de tel pour le SR.

François Xavier pour la TRM : Ici le calcul par la thé­orie des graphes montre que la communauté optimale pour une monnaie libre est de 1 million de personnes. Vouloir ap­pliquer une monnaie libre à 330 millions est plutôt risqué.

Jean Marc Flament pour le Système Robin : pour­quoi ne pourrait-on pas démarrer le SR en France avec le con­sentement des autorités, ou clandestinement comme outil de résistance au système ?

Moi : Côté démocratique : dans le SR, on a autant de banques portables qu'il y a d'acteurs économiques, (citoyens, administrations, associa­tions et entreprises), ce qui permet de se passer des banques ; alors que dans la TRM on ne les exclut pas. C'est juste un système de plus à côté. Par contre, on peut créer autant de monnaies qu'on veut ; et à l'intérieur de ces monnaies, chacun est cocréateur de la monnaie.

Jean Marc Flament pour le Système Robin : si on laisse subsister les banques, on continue à répandre les injusti­ces. Stéphane Laborde est peut-être fier de signer un chef-d’œuvre mathématique mais je préférerais qu’il mette sa science au service de l’humain.

Chez SR, on a le logiciel de sa banque personnelle sur son téléphone portable, alors que dans la TRM, on va sur un site contrôlé par chaque adhérent, où on est validé par cinq personnes chaque deux ans, ce qui est un gage de sécurité ; et puis on peut imprimer ses billets, payer par QR et SMS.

Jean Marc Flament pour le Système Robin : avec le SR, on peut adopter le même système de reconnaissance / va­lidation en passant ou non par un site.

Moi : Ensuite, dans le SR il y a plusieurs centres de dé­cisions rivaux : citoyens contre administrations et certaines firmes ; alors que dans la TRM, cette rivalité n'existe pas, puisqu'il n'y a qu'une façon mathématique de créer la monnaie symétrique.

Jean Marc Flament pour le Système Robin : je ne comprends pas. Tout le programme des différents logiciels de­vrait être approuvé par referendum, ce qui ferait des citoyens le seul centre de décision. Par la suite, les pouvoirs publics et les entreprises utilisent leur banque personnelle dans les limites de ce que leur permettent les citoyens. Le programme que j’ai proposé me semble le plus à même de garantir au gouverne­ment qui l’utilisera une totale indépendance à l’égard du sys­tème, aux entreprises de prospérer et à chaque citoyen de tra­vailler ou non sans en être pénalisé et sans pénaliser les autres à cause de ses choix. Cela n’empêche pas les entreprises de prendre les décisions qu’elles assumeront ni les citoyens de contrôler l’usage que leur gouvernement fait de sa dotation.

Moi : Enfin, le SR élimine l'idée même d'impôts, de ta­xes, de charges, et autres amendes, ce qui en fait un ennemi des pillards qui veulent se caser dans les « zélites » aux fins de s'emparer de la manne. De son côté, la TRM ne change pas le système. Elle se présente juste comme une ou des monnaies en plus, lesquelles peuvent êtres prises en compte par le trésor public. Donc, la TRM écarte moins de prédateurs que le SR, mais elle est bien plus facile à mettre en œuvre.

Jean Marc Flament pour le Système Robin : ce n’est pas la monnaie qui compte, c’est le système monétaire. Qu’il s’agisse du franc ou de l’euro, dans le système actuel, c’est le même instrument de domination du pauvre par la finance. Si le trésor public accepte la monnaie de la TRM ; c’est qu’il peut encore la contrôler par l’impôt puisque la TRM ne pré­voit pas de dotation publique. Donc la TRM ne met pas fin à la prédation.

Moi : Concernant les emprunts : Dans le SR, on demande un prêt à 0 % à sa banque portable. Dans la TRM, cela n'existe pas. La seule possibilité est le financement participatif. Si une personne veut réaliser un projet, elle en demande les moyens aux associés à la mon­naie. Peut-être qu'un jour, il y aura une banque du Sou ?

François Xavier pour la TRM : Effectivement La TRM ne dit rien sur les impôts, les taxes… une monnaie libre existera indépendamment de ce que l’on mettra « autour ».

Voici quelques liens d’articles du blog de Stéphane Laborde qui sont des réflexions sur l’impôt :

http://www.creationmonetaire.info/2011/02/revolution-fiscale-progressivite-et-relativite.html

http://www.creationmonetaire.info/2014/05/limpot-2014-est-anticonstitutionnel.htm

Remarque de François Xavier pour la TRM : en admettant que l’on puisse payer des impôts avec une monnaie libre dans le futur, on peut refuser de payer si les « pillards » en question abusent de leur pouvoir. Ils n’auront aucune capacité de prélèvement comme c’est le cas actuelle­ment. A noter que des lois ont été votées (en catimini) autori­sant l’état français à faire des prélèvements arbitraires sur les comptes des gens (le bail-inn, depuis le 1er janvier 2016). Avec une monnaie libre c’est impossible à faire, on redonne ainsi un pouvoir monétaire aux citoyens.

Jean Marc Flament pour le Système Robin : donc, pour acheter une maison, tu dois demander aux autres de te financer ? Vu le nombre de candidats acheteurs et l’impossibi­lité pour ceux-ci de partager leur maison avec leurs bienfai­teurs, je doute de l’efficacité du système. C’est la mort annon­cée du secteur de la construction.

Moi : A propos des placements : Dans le SR, considérant qu'il ne faut pas stocker de l'é­pargne car elle réduit la monnaie en circulation, on peut placer le solde non dépensé en fin de mois dans une association d'uti­lité publique. 75 % de la somme est rémunérée à 7,5 % pen­dant 10 ans. Ensuite, il faut la dépenser ou la replacer dans le tissu associatif. Dans la TRM, cela n'existe pas. Comme vu ci-dessus, on peut participer à des projets. C'est donc affaire d'entente entre acteurs d'une même monnaie.

François Xavier pour la TRM : Oui les hommes fe­ront ce qu’ils voudront d’une monnaie libre et donc on peut faire de la « dette » avec une monnaie libre même si ce n’est pas le but.

Jean Marc Flament pour le Système Robin : les ac­teurs d’une même monnaie seront donc comme jadis des cor­porations de métiers, se mettant d’accord pour financer des projets communs, corporatistes avec l’épargne de ceux qui voudront épargner. Rien d’altruiste dans tout ça. Chacun dé­fendra ses intérêts et tant pis pour les autres !

Moi : Quid de la comptabilité, la TRM propose SAKIA, le logiciel qui peut gérer autant de monnaies qu'on veut. De plus, le Sou mayennais a mandaté un cabinet d'ex­pertise comptable afin qu'il lui écrive un guide de compta pour les entreprises. Les 5 premières années vont être une pé­riode d'observation pour le fisc. Le but, c'est que les impôts puissent être réglés en Sous.

Jean Marc Flament pour le Système Robin : SAKIA est en open source. Un geek pourrait donc le paramétrer pour mettre en place le SR.

Moi : Au sujet des échanges entre participants : Une monnaie sert a mesurer des échanges. Eh bien au Sou Mayen­nais, ils sont en train de construire un site, genre Leboncoin, pour pouvoir vendre et acheter en Sous. Sympa, non ? Rien de tel pour le SR.

Jean Marc Flament pour le Système Robin : j’ai posé la question au responsable de WEESOO qui gère le site  www.monnaiehumaine.org. Il m’a dit qu’il en était capable mais il se fait depuis lors plus discret.

Moi : Très important, le traitement des générations : la TRM crée la monnaie sur une durée de vie moyenne de 80 ans, le passage de chacun mettant 80 ans de plus à s'éteindre. La symétrie est totale. Aucune génération n'est favorisée, au­cune ne peut piller l'autre. Le SR ne prévoit rien à ce sujet.

Jean Marc Flament pour le Système Robin : non, mais par rapport au système actuel, il ne reporte pas les dettes d’une génération à l’autre. Au contraire il éteint les dettes. Les aléas de la conjoncture sont pris en compte dans l’indice des prix à la consommation ce qui offre le même pouvoir d’achat minimum à chaque individu.

Moi : Et puis, la TRM, c'est une monnaie relative : Cette innovation, supprime l'inflation monétaire. Dans l'Euro, on te vole chaque année 7 à 8 % de la valeur de tes avoirs, puisqu'on augmente M3 d'autant par personne ; alors que dans la TRM, le DU garde toujours la même valeur. Pour compren­dre, imagine un ballon de baudruche qu'on prévoit de gonfler pour imiter la croissance de la masse monétaire. A vide, tu po­ses dessus une pièce de un centime d'€, tu traces un rond autour avec un stylo bien gras, puis tu gonfles. Tu vois alors le rond grandir. On dit qu'il garde sa valeur relative.

Jean Marc Flament pour le Système Robin : cela n’a aucun sens d’accorder une valeur à la monnaie, sauf pour la spéculation. Et je doute que Stéphane Laborde puisse préten­dre anticiper les réactions des spéculateurs. S’il veut évoquer la valeur de la monnaie par rapport à ce qu’elle peut acheter, je vais me répéter : il n’est pas maître non plus des fluctua­tions des prix, de la part d’impôts exigée par le gouvernement, etc. Le ballon, c’est une belle image mais elle ne signifie qu’une chose : que le DU augmente proportionnellement à la masse monétaire en monnaie libre. Mais pas par rapport à la masse monétaire totale dans le monde. Bien malin qui aurait pu prévoir le nombre de QE (Quantitative Easing) pratiqué par les banques centrales depuis 2008.

Moi : Et le logiciel ? : Il n'existe rien de prêt pour le SR, alors que la TRM peut fonctionner dès 2017.

Jean Marc Flament pour le Système Robin : je pour­rais faire appel au crowdfunding pour transformer SAKIA et CESIUM en logiciel apte à héberger le SR.

Moi : Conclusion : La TRM, même incomplète et peu agressive envers le système actuel, a une bonne longueur d'a­vance sur le SR, il te faut y aller. On ne peut plus se contenter de rêver et de râler. Et puis tu peux aider à embellir le projet avec les idées géniales de ton Système Robin.

Voilà. C'est très imparfait, je sais, mais c'est ce que j'ai de mieux à t'offrir pour le moment. Acceptes-tu de contrôler ma thèse pour ce qui concerne le Système Robin ? Je t'en re­mercie par avance. Je publierai ça sur facebook et sur mon blog : http://jesuisunraleur.canalblog.com.

Jean Marc Flament pour le Système Robin : bien sûr, je suis à ta disposition. Encore merci pour ton analyse.

Du coup, voyons le fonctionnement du crédit en monnaie dette : Quand vous "empruntez" 1000, ils sont créés à partir de rien, juste en écrivant 1000 à l’actif de votre compte bancaire. En plus, on vous colle des intérêts, assurances et autres charges. Disons qu’à 3 % TEG, il vous faille rembourser 130 chaque fin d’année sur 10 ans, au total 1300.

Ici, seuls les 1000 souscrits sont imputés à votre compte bancaire. Les 300 exigés en plus n’existent nulle part. C’est à vous de vous en emparer par votre travail ou par d’autres moyens à votre disposition. Mais pour corser la difficulté, chaque somme remboursée est supprimée.

 

Capital de départ : 1000 à 3 % TEG / 10 ans, remboursés en fin d’année

Du fait que les capitaux s’é­puisent, il vous faut con­sentir à d’oné­reux frais d’assurances ; faute de quoi, en cas de ma­ladie, acci­dent, perte, etc., il vous faut payer le crédit jusqu’au bout, au mo­ment où vous n’avez plus le bénéfice de ce que vous avez acheté avec un crédit.

Fin d’année

capital supprimé

Reste en cours

Du coup, le capital disponible diminue

tout au long de l’amortissement :

1

100

900

L’année 1, vous avez 1000 pour rembourser 130

2

100

800

L’année 2, restent 900 pour rembourser 130

3

100

700

L’année 3, restent 800 pour rembourser 130

4

100

600

L’année 4, restent 700 pour rembourser 130

5

100

500

L’année 5, restent 600 pour rembourser 130

6

100

400

L’année 6, restent 500 pour rembourser 130

7

100

300

L’année 7, restent 400 pour rembourser 130

8

100

200

L’année 8, restent 300 pour rembourser 130

9

100

100

L’année 9, restent 200 pour rembourser 130

10

100

0

L’année 10, restent 100 pour rembourser 130

L’année 11 votre capital remboursé n’existe plus !!! Par contre, les 300 d’intérêts que vous avez donnés à la banque en échange de sa création à partir de rien, sont toujours à elle et continuent à circuler et à produire... pour elle !

 

Si les banques prêtaient leurs avoirs, les recouvrements seraient conservés et continueraient à circuler ; mais elles préfèrent la technique du crédit qui leur permet d’une part de créer de la monnaie à partir de rien et d’en fabriquer plus qu’elles n’en possèdent, bien au-delà de nos besoins, alors qu’elles effacent les actifs remboursés. C’est ainsi que 95 % de l’argent qui circule est formé d’intérêts acquis aux banques, les 5 % restants sont les capitaux en cours de remboursement ; d’où leur contrôle sur les peuples obligés de les solliciter souvent. Du coup, il manque beaucoup de sous pour couvrir les traites du capital et payer les intérêts ; puisque ces derniers ne sont pas créés, et que les fonds produits à partir de rien sont détruits, ici en 10 ans ; sans compter qu’une grande partie des agios extorqués est thésaurisée, jouée en bourse ou fuit dans des paradis fiscaux et donc ne sert en rien nos besoins en monnaie d’échanges. En plus, il n’y a ni de pays riche, ni de pays pauvre, mais des pays où il y a assez de monnaie en circulation et d’autres pas ; et ça c’est fait exprès car là où il y a des impôts et pas de monnaie, on a des serfs pillés... On peut donc se demander : capital

 

- qui organise la pénurie et pourquoi ?

 

C’est une technique de spoliations, puisque la banque vend les biens de ceux qui ne trouvent pas de quoi rembourser, ce qui dans ces conditions est pourtant logique ! Cela crée une concurrence féroce entre les gens et les états, d’où les guer­res ! Or, comme pour n’importe quel autre achat, on devrait considérer que le capital du crédit est acquis à celui qui a rem­boursé son emprunt ; ce qui éteindrait illico la compétition, les conflits, le pillage des peuples et le saccage de la planète.

Malgré cela, les accros à la monnaie dette ne sont pas conscients qu’ils mesurent des longueurs, des poids, des températures sans payer quoi que ce soit, une fois le mètre, la balance ou le thermomètre acquis… mais ils acceptent de payer pour mesurer des valeurs ; alors que"l’instant d’échange"n’est rien dans la durée de vie d’un produit, mais sert à nous mettre en esclavage toute notre vie !En plus, ils imposent des impôts pour nous affaiblir, des croyances visant ànous abuser, ainsi quedes obligations et interdits pour nous maintenir en obéissance.

Or, il n’y a rien de plus dangereux que les banquiers :

Thomas Jefferson, troisième président des États Unis de 1801 à 1809, disait : « Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes au combat ».

En 1862, le président des états du nord, Abraham Lincoln fait éditer pour 449 millions de $ à dos verts, les green backs, gagne la guerre et enrichit l’Amérique. Cela ne plaît pas à Londres qui ne peut plus vendre ses prêts à 30 % / an. Il est assassiné pendant sa campagne électorale de réélection en avril 1864, au motif que « si cette malveillante politique financière devait perdurer pour de bon, alors ce gouvernement fournira sa propre monnaie sans frais. Il sera sans aucune dette. Il aura tout l’argent nécessaire pour mener son commerce. Il deviendra prospère à un niveau sans précédent dans toute l’histoire de la civilisation. Ce gouvernement doit être détruit, ou il détruira toute monarchie sur ce globe ». C’est de Sir Goshen, porte parole des banquiers de la City de Londres.

Le 4 juin 1963, Kennedy décrète l’ordre 11110 qui crée plus de 4 milliards de $. Il est assassiné le 2 novembre.

Henri Ford (1863 – 1947), fondateur des automobiles Ford, dans une interview du New York Times en 1938 : quelqu’un a dit un jour que soixante familles ont présidé au destin de la nation. On pourrait bien dire que si quelqu’un voulait focaliser les lumières de la rampe sur les vingt-cinq personnes qui s’occupent des finances de la nation, nous mettrions en exergue les véritables faiseurs des guerres du monde.

Josiah Stamp (1880 1941), gouverneur de la banque d’Angleterre, 1920 : « si vous désirez être les esclaves des banques et payer pour financer votre propre esclavage, alors laissez les banques créer l’argent ».

Willim Lyon Mackenzie King (1874 – 1950), premier ministre du Canada de 1921 à 1930 et de 1935 à 1948 : « les usuriers une fois au pouvoir, détruiront la nation »

Page 92, de American Mercury Magazine, décembre 1957 : «  L’invisible pouvoir de l’argent est à l’œuvre pour contrôler l’humanité et la réduire en esclavage. Il a financé le communisme, le fascisme, le marxisme, le sionisme et le socialisme ».

Lawrence Patton McDonald député démocrate de Géorgie : « Le but des Rockefeller et de leurs alliés est de créer un gouvernement mondial unique combinant le super capitalisme et le communisme sous la même bannière et sous leur contrôle… […] Est-ce que j’entends par là une conspiration ? Oui, en effet. Je suis convaincu qu’il y a un tel complot d’envergure internationale en planification depuis plusieurs générations ». (Propos tenus lors d’un débat télévisé en mai 1983 : il est décédé 4 mois plus tard, dans une attaque d’un vol de la Korean Airlines par un avion de chasse de l’Union Soviétique, le 1er septembre 1983 à l’ouest de l’île Sakhaline).

Et le fameux « si c’était vrai ça se saurait » ne tient pas. En effet, en 1991, David Rockefeller affirme : « Quelque chose doit remplacer les gouvernements et le pouvoir privé me semble l’entité adéquate pour le faire. Aussi, nous sommes reconnaissants envers le Washington Post, le New York Times, Time magazine et d’autres grands journaux. Leurs directeurs ayant participé à nos rencontres et ayant respecté la promesse de discrétion pendant près de 40 ans. Il nous aurait été impossible de développer notre plan pour le monde, toutes ces années durant, si les projecteurs avaient été braqués sur nos activités. Le monde est maintenant plus sophistiqué et plus préparé à accepter un gouvernement mondial. La souveraineté supra nationale d’une élite intellectuelle et de banquiers est sûrement préférable au principe d’auto détermination nationale des peuples, pratiquée tout au long de ces derniers siècles ».

Avec de telles considérations et bien d’autres du même genre, je suis passé àdesmonnaies d’essai : d’abord la monnaie M, puis le sou mayennais devenu la Ğ1 quise prononce June. J’ai aussi testé le JEU, un carnet papier bien pratique pour troquer de gré à gré. Le but était bien sûr d’échanger gratis entre nous, mais surtout de comprendre les effets de leurs différences sur nos vies.Elles ne vont pas si loin que le système Robin ; mais elles ont de très belles qualités et ellesfonctionnentbien. Alors, comparons l’Euro et la June :

 

= Euro => Monnaie dette

Ğ1 = June => Monnaie libre

Système pyramidal

Système horizontal ▬ ▬ ▬ ▬

Une seule source de monnaie : la banque.

Autant de sources que de participants. La monnaie est créée sous la forme d’un Dividende Universel, (DU), et ce dès la naissance!

C’est la banque qui fabrique la monnaie quand on signe un contrat de crédit. Elle décide qui peut avoir de l’argent ou pas et combien !

Ce DU est créée chaque jour par DUNITER qui crédite notre compte public à consulter sur notre téléphone, ordinateur, ou tablette.

Du fait que les intérêts ne sont pas créés, c’est notre travail qui les produit pour la banque, alors qu’elle détruit le principal quand on rembourse ! C’est de l’esclavage.

Produire sa monnaie c’est comme jardiner, sauf que c’est plus facile et qu’on élargit nos possibilités. Ici pas d’esclavage, pas d’huissiers d’injustice légale, liberté totale.

Modes d’échanges : foire, salon marché, Internet, commerce de détail et supermarché, fête...

On a Gchange, Gannonce, facebook, les marchés lors des réunions et apéros.

Modes de paiements : monnaie, billets, chèques, cartes, Internet.

On a Internet, le QR, les billets qu’on imprime soi-même. La carte et les sms sont quasi prêts !

Sur demande, la banque transmet vos infos au fisc qui peut se servir comme il veut !

Seul le propriétaire du compte peut y réaliser des opérations. Le fisc ne peut rien sans votre accord

Imposable en tant que monnaie d’État.

La Ğ1 est une devise de classe 5 au plan comptable 1982 révisé. Non imposable si dépensée en Junes. Idem yen, $, ₤, Bitcoin...

Héritage grevé de taxes

Transmission libre. On donne ses mots de passe et c’est tout.

Variation permanente de la valeur de la monnaie (inflation, dévaluation, faillites bancaires).

Le DU est réévalué tous les 6 mois. La parité du pouvoir d’achat est conservée sur la durée entre tous !

On emprunte à la banque. Leur pouvoir est immense.

L’humain est remis au centre de l’économie. On se regroupe pour créer ensemble !

Système passif. On peut rester dans son canapé à regarder la télé. Nos maîtres s’occupent de tout.

Système actif : on va à des réunions (1) pour se faire cinq amis qui valident notre droit à utiliser la Ğ1 pour deux ans, puis à notre tour certifier des amis et augmenter les échanges.

Les emprunts grèvent les res­sources des générations futures

La Ğ1 n’obère en rien la vie financière de nos enfants.

Les décisions sont prises à Bâle, au sein des gouvernements et organisations internationales qui sont extrêmement nocives.

La TRM, (Théorie Relative de la Monnaie) (2), est une loi mathématique qui ne pense ni à vous tromper ni à vous piller.

C’est un vieux machin obsolète, qui fuit de partout.

C’est la 1ere monnaie libre au monde, et aussi légale que le Bitcoin et les tickets restaurants.

Sert le commerce national et international

On favorise le local. C’est plus propre et plus sain

Gestion centralisée et privatisée de notre argent

Routeurs pair à pair de type Rapsberry pi, 5 watts, 45 €, décentralisés chez des membres.

L’Euro va être détruit pour être remplacé par une monnaie FIAT unique : l’AMERO. Risque majeur !

La June peut durer éternellement.

(1) : voir l’agenda des apéros sur : www.monnaielibreoccitanie.org

(2) : pour en savoir plus, voir sur : www.creationmonetaire.info

Venez au 1er apéro monnaie libre de : code postal et Ville, date, heure, lieu et N° de tél. Amenez un pseudo et deux phrases pour les mots de passe, plus votre téléphone ou portable. Si vous n’en avez pas, vous en prêtera.

 

De l’utilisation de la Ğ1, j’ai tirés les enseignements suivants :

La monnaie dette est l’outil de l’effondrement

Le mardi 24 septembre 2019, je sortais insatisfait d’une conférence sur la collapsologie de Loïc Steffan à l’université Champollion d’Albi. Il y montrait une courbe en forme de cloche qui arguait que nous allions de­voir vivre en consommant beaucoup moins. Ce n’est pas prouvé. On produit et on jette toujours plus. L’agro­foresterie, mélange de cultures, jardinage, arbres et animaux, multiplie les rendements par dix et amélio­re les sols. Il y a des millions d’hectares de terres à réhabiliter et on sait faire. On peut refuser les guerres et les pol­lu­tions, instaurer l’ère du durable et du renouvelable. Une étude montre que dans ces conditions, on peut tous vivre au Texas et jardiner le reste de la planète ! En plus, il ne disait pas la cause des accidents économiques, à savoir le trucage de nos monnaies pour en faire un système d’usure et d’escla­vage. Par contre ses derniers mots ont étés : "le politique c’est fini, à nous de jouer". Du coup, voici mon plan en quatre temps : nous allons voir :

  1. L’historique de la mise en place de la prédation monétaire

  2. Pourquoi la monnaie dette est si nocive ?

  3. L’humanité est-elle coupable ?

  4. Comment s’en sortir ?

Historique de la mise en place de la prédation monétaire. Le fautif c’est l’État :

      En France, la mise en place des banques de pillage démarre à la révolution. Le 2 octobre 1789 on légalise le prêt à intérêts, et le 25 avril 1794, la convention précise que l’argent est une marchandise comme une autre et qu’on peut la louer (illuminati de Bavière). Ensuite, Napoléon crée la banque de France le 18 janvier 1800 avec un banquier français et un suisse, auxquels il accorde le droit d’utiliser le nom : Banque de France. Son Franc-Or est stable jusqu’en 1914. Après les désordres des deux guer­res mondiales, la BDF est nationalisée par Charles De Gaulle le 1er janvier 1946. A partir de là, c’est l’État qui fabrique sa monnaie, d’où les trente glorieuses ; mais en 1967 déjà, Georges Pompidou déci­de que les français doivent être payés par chèques. Dès lors, l’argent n’appartient plus aux travailleurs. Leurs sous ne sont plus dans leurs poches, dans des coffres ou sous des matelas, mais en bourse. Les profits des banques enflent vite, mais en échange, elles nous endettent, facturent des frais, spéculent avec notre argent et vendent nos biens aux enchères !! En plus elles surveillent nos habitudes et repèrent les niches taxables qui s’ajoutent aux anciennes, ce qui nous laisse de moins en moins de liberté. Ainsi, elles disposent gratis de fonds colossaux qui sont secrètement investis dans des domaines tels que les armes. Le 3 janvier 1973, Pompidou (président), Giscard (finances) et Mesmer (armées), font paraître au journal officiel, une loi qui oblige l’État et ses administrations, sources de 83 % de nos dettes, à faire créditer leurs comptes chez les financiers internationaux, ce qui leur permet d’une part d’engranger des bénéfices énormes sur le dos des français, et d’autre part de déplacer le pouvoir financier à l’étranger, alors que ce ne sont que des chiffres tapés sur des claviers !!! 1947 – 1967, c’est lors de cette période que se prépare le début de l’effondrement, vendu comme une reconstruction, une nouvelle prospérité ; alors que c’est à partir de là, que sont été créés la TVA, les impôts sur les plus-values puis qu’on pousse à la consommation d’emballages et autres jetables, c’est à partir de là, qu’on accélère les engrais, les pesticides, les OGM, les vaccins, etc. Cette technique de pillage et de pollutions est étendue à la CEE en 1992, bien aidée par Giscard et Bérégovoy. Enfin, le FMI projette d’imposer des intérêts négatifs… Ruine et esclavage en vue pour tous ? Repérer les grands financiers, c’est nommer les fascistes qui sont à la base de l’effondrement économique.

 

Pourquoi la monnaie dette est-elle si nocive ?

      D’abord, les banques financent ce qui les intéresse à elles, pas à vous, d’où un très important déficit de diversité. C’est le début de la dictature. Le fameux "liberté" des frontons de la république n’a pas de sens pour elles ; car si vous désirez développer l’énergie libre ou l’entraide, vous n’avez aucune chance. Par contre si vous voulez acheter une voiture ou une maison, vous les intéressez, puisque ce sont elles qui contrôlent ces entreprises.

      De plus, les banques se nomment : Crédit Lyonnais, Crédit du Nord, Crédit Agricole, Crédit mutuel, Crédit immobilier, crédit coopératif, etc. Elles ne prêtent pas de l’argent mais font crédit dix fois plus que ce qu’elles détiennent, en tapant le montant souscrit sur votre compte bancaire, (on a vu des effets de leviers jusqu’à X 70). C’est la monnaie écrite (scripturale) des banquiers. Cela n’a rien à voir avec le prêt de ce qu’on possède contre un seul loyer ! Et pour ce simple geste du poignet qui crée la monnaie en quelques secondes, le remboursement prend des années de vrai travail. C’est de l’esclavage pur et dur. En plus il faut payer des intérêts et autres chargements, genre assurances, frais de tenue de compte, de carte bancaire ou encore de garantie, qui eux ne sont pas créés. Ils n’existent pas. Alors, il faut aller puiser dans les ressources de la planète, ou obliger des esclaves à le faire à votre place ; pendant qu’en même temps le principal qui est détruit à chaque annuité, peut de moins en moins vous aider ; si bien que le crédit est le seul produit que quand t’as fini de le payer, t’as plus rien ! Vous avez là, la cause première des destructions actuelles.

Mais il y en a d’autres : d’abord, tout est fait pour vous épuiser : votre épargne est peu rémunérée : alors que pour l’économiser, vous avez dépensé, à cause des entraves légales mêlées à des charges, taxes, impôts et amendes, bien plus d’énergie que le banquier qui s’est contenté d’une simple écriture : on vous paie de 0 % à 1,75 % mais ce placement est limité à 7000 €. Par contre en cas de découvert de moins de 3000 €, la banque vous facture 19,65 % / an, puis 21,21 % au-delà ! On sait pourtant qu’avec le Système Robin, on peut se passer de ces asymétries.

      Et puis il y a l’inflation, soit l’augmentation récurrente des prix de ce que vous achetez, autour de 1 à 2 % / an en ce moment, (2019), mais beaucoup plus en 2020, à cause des assurances qui prétendent avoir plus de sinistres et plus chers, à cause de la facturation des frais COV19 et du rapatriement de certaines productions chinoises en France, à cause aussi, mais temporaire, de la rareté induite par la baisse de production lors du confinement. Je ne sais pas où on en est de la taxe carbone pour la France, je sais juste qu’elle est ruineuse en Australie.

À cela s’ajoute la dévaluation de la monnaie, qui est d’environ 10 % / an. L’ensemble fait un beau pillage permanent. Et si en plus on couple le prélèvement automatique des impôts locaux aux futurs intérêts négatifs qui nous obligeront à payer pour garder nos économies, c’en est fini de nos dernières libertés !!!

      Ensuite, votre argent que les banquiers nomment "la collecte", est utilisé secrètement et quasi gratis par les banques. Une part l’est au niveau local ; mais une autre est regroupée par les "banques centrales" de tous les pays sauf quatre*, puis par la BRI à Bâle, en Suisse. C’est de ces bénéfices que sont tirés les investisse­ments de la banque mondiale dont aucun peuple au monde ne voudrait, genre vaccins pollués, chemtrails, armées, travaux publics pharaoniques, etc., alors que c’est l’argent des pauvres, pas celui des riches qui reçoivent bien plus qu’ils ne donnent et ont accès aux pa­ra­dis fiscaux ! Tout ça est fliqué par le FMI pour imposer ses restrictions quand on ne peut plus payer. Ce sont des assassins économiques et des assassins tout court.

Or, nos élus et fonctionnaires ne nous sont pas utiles, car ils sont orientés par des cercles tels que le Siècle, le G8, le G20, le club de Rome, le CFR, les Bilderberg, la table ronde, la trila­­ra­le, le RIIA ; eux-mêmes guidés par d’autres moins connus : soit les illuminati et la franc maçonnerie du 33ème degré**, et peut-être encore au-delà...

 

L’humanité est-elle coupable ?

       On accuse l’humanité de tous les maux. Ce serait elle la fautive, elle qui saccagerait la planète, elle qui créerait tous les désordres. On veut la détruire, ne garder que 500 millions d’humains capables de vivre en accord avec la nature (Georgia Guidestone). Sauf que comme montré ci-dessus, l’humanité est esclave de ceux qui exploitent ce monde. En sumérien, qui est la première langue écrite qui a laissé des traces, le mot Adam n’est pas un prénom mais veut dire animaux, bétail ; et les religions prolongent cet état d’esprit : les protestants ont des pasteurs pour garder leur troupeau. Le culte catholique a ses pastorales pour raconter la naissance du Christ, la parabole du bon berger, l’histoire de la brebis égarée, les ouailles, la piétaille. Le mépris est évident. D’autres exigent la solidarité entre pairs et contre les autres, mais il faut obéir à une hiérarchie qui n’a aucun respect pour eux, puisqu’elle finance des guerres qui les tue par millions ! Ou alors, il faut nier son ego, s’humilier, perdre son temps, etc. En fait, l’humanité n’a de choix que de se soumettre aux diktats qui lui sont infligés. Et alors qu’il faut à tout prix avoir de la monnaie dette pour assumer ses besoins et payer des impôts, dont on peut se passer via le Système Robin, il y a peu de choix libres. Le mercena­riat est un passage obligé pour beaucoup d’entre vous. Il faut alors duper, voler, racketter, polluer, abuser, arnaquer, saboter, avilir, affaiblir ; et même torturer et tuer à la demande de hiérarchies corrompues.

 

Comment s’en sortir ?

D’abord en devenant soi, en étant ce qu’on est et rien d’autre ; tout en acceptant l’autre tel qu’il est, mais en n’obéissant qu’à soi, tout en misant sur le bien être intime et collectif. Cela produit la diversité qui nous sauve quand nos moyens n’opèrent plus rien de bon. Il suffit alors de regarder autour de soi ce qu’elle a à offrir pour rebondir, car rien n’est éternel. Gauss l’a montré avec sa fameuse courbe en forme de cloche.

Ensuite, en prenant conscience que ce sont les pauvres qui financent les riches et non l’inverse. Pas de pauvres => pas de riches. Ils ne sont pas crédibles, quand ils traitent les humbles d’assistés ; alors que sans eux, ils ne sont rien, puisque ce sont les pauvres qui font le boulot pour les classes moyennes, qui elles, sont exploitées à outrance !

Il nous faut en plus un outil pour commencer, et nous l’avons. C’est la Ğ1, (se prononce June). Et c’est légal, car le droit de créer sa monnaie est un droit inaliénable qui comporte même celui de promulguer notre propre Constitution (droit civil) ; du coup si on nous a privés de celle de 1958, on peut s’en créer une autre liée à la monnaie qu’on se choisit. Alors quelles sont ses qualités ?

  • Son fonctionnement est gratuit,

  • Ce sont ses adhérents qui cocréent la monnaie,

  • Son DU (Dividende Universel) est produit sans intérêts,

  • Pour la première fois, la monnaie a une base mathématique qui forme un invariant !

  • Pas de déficit autorisé, ce qui supprime les dettes et nous oblige à nous associer pour créer.

  • Il faut montrer patte blanche à cinq personnes pour y entrer et faire ses preuves pour y rester.

      Plus besoin d’arnaquer, racketter, mentir voler tuer. Elle est tout à fait indiquée pour démarrer une époque plus sereine. Nous sommes en période pré-électorale (fin 2019). Sa promotion même partielle dans des villes et villages nous rapproche d’un monde plus solidaire. Comme on vient de le voir c’est tout à fait légal, à nous d’en profiter. On peut rêver aux belles conséquences de sa rapide mise en service. Je suis ravi de participer à son développement.

 

Conclusion : c’est bien l’État qui est le fer de lance de l’effondrement. Son outil est sa monnaie truquée. L’humain n’est pas coupable des destructions. C’est à lui de choisir sa voie.

Autres infos sur la monnaie libre :

Le site de l’inventeur : http://www.creationmonetaire.info/

Le site national : https://monnaie-libre.fr/,

Le site régional : https://monnaielibreoccitanie.org/

Et plus de 20 articles sur :

http://jesuisunraleur.canalblog.com/archives/raler_pour_une_nouvelle_monnaie/index.html

* http://www.chercheursdeverites.com/plus-que-4-pays-sans-banque-centrale-rothschild/

**https://www.kla.tv/14579&autoplay=true?fbclid=IwAR3qHtTtu5OLRNlS8-CqFMYrBqJ10_a_9maiVa_rDzGCCC2A0wHBfEnrHF0

 

       Maintenant qu’on a bien chauffé nos neurones pour comprendre la plus grande arnaque jamais inventée aux fins de mettre l’humanité en esclavage, je vous fais une proposition ultra simple et rigolote, confortable et sympathique en diable. Je vous la fais sous la forme d’une question facile à comprendre et à solutionner :

Si les employés des banques ont le droit d’écrire le montant des crédits sur nos comptes bancaires, pourquoi ne nous octroierions nous pas le droit d’écrire le montant de nos revenus sur une blockchain ou sur une holochain à nous ? Et pourquoi pas aller plus loin en mettant en place le financement des besoins collectifs par la création monétaire gratuite, comme du temps de De Gaulle mais sans faire intervenir l’État ? Nous pouvons la faire contrôler par des tirés-au-sort aux missions courtes et précises, eux-mêmes inspectés par d’autres ; non pas pour les empêcher de prospérer, mais pour annuler les inégalités qui forment des monopoles peu à peu vérolés de dictatures. Des cartes de type Raspberry pi à 45 € suffisent pour ce genre de comptabilité et ça rend notre monnaie si diffuse qu’elle est imprenable. Or, il n’en faut que 50 pour 2500 portefeuilles. Qu’en pensez-vous ? N’y a-t-t-il pas écrit LIBERTÉ ÉGALITÉ au fronton de nos mairies, tribunaux, ministères et autres monuments menteurs de notre république ? Affirmons que notre droit vaut celui de l’autre, y inclus de celui qui fait la loi pour nous piller tranquille depuis son ordinateur. C’est à réfléchir !!!

Et si vous ne voulez pas passer par l’Internet, sait-on jamais si on ne va pas nous le gâter, il nous reste le carnet papier du JEU, soit du Jardin d’Échange Universel avec lequel on crée soi-même la monnaie au moment de l’échange. Là aussi, même si cela ne se fait pas encore, on peut élargir aux besoins collectifs.

Sites :

https://cirquedujeu.wordpress.com et https://jeuparisot82.wordpress.com

 

cov19, livret du JEUPhoto livret du JEU

 

Nous avons bien détaillé les moyens de mise en esclavage et un soupçon d’état d’esprit nouveau pour sortir de l’impasse. Voyons à présent la première cause matérielle et contemporaine de ces désordres :

 

Le profit

 

 

Si en France, la mise en place des banques de pillage démarre le 2 octobre 1789 et qu’on légalise le prêt à intérêts le 25 avril 1794, c’est dans la nuit du 4 août 1789 qu’on donne la liberté de produire ce qu'on veut, comme on le veut. L’autorisation de faire des profits précède donc la concentration des moyens financiers par les banques. C’est logique. L’innovation est longtemps interdite et le moyen âge est réputé pour ça. C’est à la Révolution qu’on lâche les chevaux.

Comme vous le savez, c’est la rareté qui fait la valeur d’un produit : si nous remplacions les arbres par des fruitiers dans nos villes et campagnes, les fruits ne vaudraient plus rien. C’est pourtant le cas à Saïgon. Aux peuples différents, des moyens différents. Il y a des diamants à profusion en maints endroits de la planète ; et s’ils sont vendus si cher, c’est parce qu’en plus d’un marketing impeccable, leur cueillette est interdite et surveillée, ce qui les rend très rares.

Mais quelle est la cause de la destruction de la rareté et donc de la valeur des produits commercialisés ? Eh bien on peut poser sans risque de se tromper, que c’est l’essor du machinisme qui est la principale cause des désordres de l'économie. On a mécanisé et souvent automatisé la production. À travail humain égal, on produit aujourd’hui bien plus qu’il y a cent ans. Or, dans notre société d’échanges rudement taxés, on ne peut pas se passer de la production de masse qui fait des économies d’échelle et permet des prix assez bas pour susciter de nombreux achats.

Du coup la surproduction sévit. Il faut s’en débarrasser. Des quantités extraordinaires de récoltes pourrissent sur place quand elles ne trouvent pas preneur, les magasins jettent beaucoup de salades fruits et légumes quand ils ne les vendent pas assez vite. On stocke à grands frais des milliers de tonnes de céréales pour les sortir du circuit commercial. On exporte en Afrique avec un effet dumping qui les ruine. Il faut vivre à crédit pour tout écouler aujourd’hui ; et tant pis si demain on doit brader ce qui ne part pas assez vite.

Mais en même temps on recherche les gains de productivité. Pour cela, on rentabilise les usines avec le travail à la chaîne et en 3 X 8, on pressure le personnel, on le paie mal, on justifie même des dictatures violentes ou sournoises, des guerres éclatent pour ce fric qui commande à toutes les turpitudes, (lire : pigeon volant, l’Afrique vue d’un vélo, de Jean-François Bernies, publié dans la collection vécu de chez Robert Laffont, en 1977), on se critique, on se roule, on s’entre-tue pour payer les frasques de quelques voleurs.

D’un autre côté, on s’outille toujours plus, on informatise, on robotise, on subventionne des amis, on provoque l’immigration pour avoir de la main d’œuvre moins chère et résister au pillage des États qui coûtent de plus en plus cher alors qu’ils ne produisent rien de bonne qualité, et à celui des banques qui s’achètent le monde avec leurs crédits payants, lesquels ne sont que des écritures dont ils jettent les remboursement pour ne garder que leurs intérêts et autres chargements. Ceux qui maîtrisent ainsi la monnaie la raréfient ou en produisent trop, la dévalorisent ou la surévaluent, suivant en cela leurs appétits. C’est une bordélique foire d’empoigne qui devrait nous inciter à exiger le nantissement de nos comptes et placements sur le dos des banquiers ! Cela calmerait ce jeu de dupes vite fait !!!

On a alors les modes, les dates limites et autres jetables, les circuits obligés tel celui des pharmaciens par exemple. S’y ajoutent les innombrables obligations et interdits pour orienter la production et la consommation, les impôts, y compris locaux, pour imposer des équipements coûteux souvent inutiles voire nuisibles, les frais fixes et financiers, les charges sociales très lourdes pour décourager l’entreprenariat, les diplômes et les demandes d’autorisations pour barrer la route à l’innovation, les normes contraignantes et l’obsolescence programmée pour éliminer des articles pourtant sains. On produit trop, il faut à tout prix limiter, solder, jeter et même saccager racketter et ruiner pour garder de la valeur aux profiteurs.

Par ailleurs, on occupe du personnel en finançant toute une gamme de produits et services funestes au bien vivre ensemble : de nombreux transports de marchandises inutiles ; les déplacements de ceux obligés d’aller travailler loin pour assumer leurs besoins, alors qu’ils préféreraient exercer leur curiosité et leurs envies au plus près de leurs centres d’intérêts ; on dévalorise la créativité en vendant tout et n’importe quoi sous l’appellation choquante de "produit" qui nie le génie de celui qui l’a élaboré ; on a le système des brevets qui permet le blocages d’idées et leur pillage par ceux qui en ont la puissance, et puis aussi les religions qui par leurs dogmes excluent la spiritualité individuelle, la plupart des administrations qui ne servent à rien, la médecine qui pousse à la maladie, le règne de l’irresponsabilité, pareil pour les assemblées républicaines. On a encore la politique supra locale ; les travaux pharaoniques ; la déforestation ; les écarts de richesses ; les groupes de pression ; les médias menteurs ; la publicité ; les pollutions ; les syndicats ; les armées ; le flicage ; les partis ; les banques ; la bourse, etc. C’est le règne du stérile.

Et en plus, on a le culot d’accuser l’humanité d’être polluante et son travail d’être top cher, alors que ce sont les voleurs, soi-disant gestionnaires mais corrupteurs hors normes, banquiers et États complices, qui sont des nuisibles !!! Il se servent avec une morgue à toute épreuve, inculquée par les écoles de la république, les loges et les groupes de pression. Incroyable, et pourtant ça passe…

Et on voit leur pitoyable résultat : les usines tournent au ralenti, voire se vident et laissent des friches industrielles fort laides. Le chômage sévit.

Inutile d’accuser l’inflation, car des pays qui n’en ont pas, souffrent aussi de la destruction du travail par la modernisation presse-bouton, avec pour effet le marasme qui en résulte et les drames qui l’accompagnent. Ce sont les nations qui sont à la fois les plus imposées et les plus équipées pour produire vite et bien, qui ont les plus graves problèmes sociaux à gérer.

Et s’il arrive à certaines personnes de croire qu’une guerre solutionnerait le problème, alors qu’elle n’est qu’un épisode de destruction des producteurs, des richesses et des surplus de production, sans parler des pillages, il faut leur dire que c’est tout à fait impossible, car les stocks sont très vite reconstitués grâce aux progrès techniques ; et ce, malgré le manque de main d’œuvre valide, à la fin d’une guerre par exemple. C’est ce qui se passe après 1919. On s’attend alors à cent ans de corvées pour revenir au niveau de 1914, mais malgré la réduction du temps de travail à huit heures par jour, inscrite dans le traité de Versailles, il ne faut que dix ans pour retrouver l’abondance d’avant … et une nouvelle crise en 1929 ! Partout, c’est le travail qui manque. Voir le livre conseillé par Étienne Chouard : Jacques Duboin : La grande relève de l'Homme par la Machine (1932). Vous le trouverez ici : http://economiedistributive.free.fr

 

Voilà pourquoi l’ONU veut réduire drastiquement la population mondiale. Ce n’est pourtant pas une solution durable. Au moins un précédent connu y fait penser : le déluge, 40 jours et 40 nuits de pluie pour inonder la planète, et moi de me dire que ce n’était pas naturel, qu’il y avait déjà une technologie de résonance magnétique derrière cet évènement, genre HAARP mais en plus puissant. Quoi qu’il en soit, repartis de bien peu nous sommes aujourd’hui des milliards, plus nombreux qu’avant. Détruire ne sert à rien, il nous faut trouver autre chose. La solution est à l’intérieur de notre inconscient collectif, et pas lié à des calculs de lobbies.

 

La régulation de la production et le partage des profits

Nous avons donc deux problèmes à gérer : la mise en phase de la production avec les besoins réels, puis le partage des profits qui en résulte. C’est tout à fait réalisable, une fois l’accord des plus gourmands acquis…

Et des gourmands, il y en a deux sortes, les privés et les fonctionnaires. Tout le monde veut sa part, voire tout ; et les chefs des deux trompent en secret les esclaves par l’arrogance qui permet le prestige bidon et les richesses usurpées, alors qu’ils sont les pires larbins du système !!!

Les premiers sont parfois très gourmands. Le magazine Fortune nous situe le plus riche aux alentours de 140 milliards de $, mais souvenez-vous : Marie Laforêt qui craignait pour sa vie, était venue raconter chez Ardisson, que son mari et trois associés possédaient 250 fois le budget de la France. Si c’est toujours le cas, ils valent aujourd’hui 250 X 500 = 125 000 milliards d’€, et ils ne sont peut-être pas les plus riches de la planète, puisque les 42 personnes les plus fortunées détiennent 5O % des richesses mondiales. C’est de la folie. Qui sont ces gens ? Qu’est-ce qui peut encore les intéresser, sinon un hold-up mondial ? Pourquoi personne n’en parle ? Faut-il les laisser faire ?

Quant aux seconds, ils ont inventé le système social le plus coûteux imaginable : 500 milliards pour le gouvernement sans qu’on sache à quoi ça sert, puisque les services de l’État sont payants, très chers, souvent de basse qualité ; et qu’en plus ils bradent notre patrimoine à leurs amis !!! Ce coût est triplé pour la santé, la CAF et les retraites ! C’est hors de prix, surtout quand on sait qu’on peut tout avoir en mieux et pour rien, en créant nous-mêmes de la monnaie. Cela ne fonctionne pas. Il nous faut un nouveau modèle plus facile à vivre et assez cool pour faire envie.

On sait cependant qu’ils veulent un revenu régulier garanti à vie ; et c’est possible. On aura beaucoup moins à assumer quant on aura stoppé le pillage de la bourse de new York. On pourra alors s’équiper d’une mesure des échanges honnête, genre la Ğ1 qui produit de la monnaie tous les jours, éventuellement associée avec le JEU qui la fabrique au moment de l’achat, ou encore avec le système Robin, ou … les trois à la fois ; ou en faisant circuler nos chèques sans les endosser afin de supprimer des contrôles bancaires et fiscaux ; ou comme vu plus haut avec des unités de compte nouvelles sur une blockchain ou sur une holochain à nous ; ou en créant nos chéquiers et nos billets. Les solutions sont légion pour se dégager de l’emprise. On n’a que l’embarras du choix, pour que chacun ne se sente plus obligé d’entrer en compétition avec les autres, et retrouve sa belle liberté si désirée, si vantée, mais jamais accordée ; sauf à considérer avec dépit que notre liberté ne vaut pas mieux que celle des moutons libres de la bergerie libre, mangés par le loup libre de la soi-disant société libérale.

 

Il n’y a pas assez de travail pour tout le monde ? Qu’à cela ne tienne, on va partager du plaisir au lieu de dispatcher du boulot et des chiffres électroniques hackables. Des sociétés, telle celle des fourmis, ont des ouvrières, certes, et aussi 30 % de chômeuses et ça tourne quand même. Elles n’ont ni les États ni les banquiers pour les en empêcher. Et de fait, si on détaille l’emploi du temps de notre activité professionnelle, on voit bien qu’il n’y a que peu de moments utiles à la société. La plupart de nos travaux et services sont gaspillés.

Alors pourquoi pas fixer la production sur la base des envies, plutôt que sur celle des profits ? Cela implique qu’on ne suive que sa voie, qu’on n’apprenne, dans de bonnes conditions, que ce qu’on veut et quand on veut, puis qu’on ne produise que quand on est mu par son plaisir.

Cela nécessite d’avoir des revenus garantis à vie qu’on travaille ou pas ; et comme on vient de le voir, c’est tout à fait réalisable, la monnaie étant une convention qui sert à oser ses envies, et sa comptabilité à apaiser les relations qu’elle crée. Ce sont des qualités formidables que d’autres ont changé en système d’esclavage, mais qu’on n’est pas obligés d’adopter. Et puis si la monnaie est une convention, les dettes aussi et je vous conseille de méditer ce point ! D’ailleurs, depuis que Galbraith l’a raconté, on sait tous ce genre d’histoire : celle d’un flambeur qui arrive au volant d’une très belle auto dans une ville en récession où bien des gens sont endettés. Il pose un gros billet sur le comptoir de l’hôtel local, disant qu’il veut une belle chambre en pension complète pour la semaine. L’hôtelier saisit l’aubaine et demande à son employé de l’amener dans les étages pour qu’il choisisse la suite qu’il veut, prend la grosse coupure et file payer sa dette au boucher, qui fait de même avec le paysan, lequel la porte à son tour au fournisseur d’engrais, etc, jusqu’à la voisine, qui vient payer le repas de noces de sa fille. Au moment où elle pose le précieux papier sur le comptoir, le riche escroc descend de l’escalier en disant qu’il ne reste pas, file et oublie le billet qui, bien examiné, s’avère être un faux. Tout le monde à pourtant payé ses dettes. On voit ici que la monnaie n’est qu’un accord comptable sans valeur réelle. On peut donc créer celle qui nous est utile, que ce soit au niveau individuel ou collectif, pour que chacun vive ses rêves en paix.

 

Il faut enfin que le fruit du travail choisi et aimé appartienne à son auteur, via la communauté locale à laquelle il l’accorde le temps de son choix, mais ni à un patron ni à un État. Ainsi, le job n’est plus comptabilisé dans les frais pour former le prix de revient, mais il passe du côté des ressources ; quant au capital il fait le chemin inverse, devient un coût, une fourniture parmi d’autres, puisqu’il ne vaut pas autant que le papier toilettes. Dans ce concept, nul ne le possède en propre, pas plus qu’un marteau d’atelier, par exemple. On arrête donc la très coûteuse rémunération des actionnaires. C’est l’équipe au travail qui récupère les fruits de son activité. L’affaire sert juste à exercer ses passions. C’est ce qu’ont fait Marcel Barbu et l’abbé Pierre à la fin de la seconde guerre mondiale, avec les communautés de travail des compagnons d’Emmaüs. On a deux autres exemples bien connus : la société de fait et le GAEC (Groupement Agricole d’Exploitation en Commun).

Passons donc de la société d’exploitation, à la société de partenaires qui associe des envies et rémunère leur mise en œuvre. Exit la société capitaliste où les résultats du bas de bilan vont à ceux qui en possèdent des parts ; lesquels font commerce d’esclaves chaque fois qu’ils en vendent. La société de partenaires n’a plus de sociétaires ni d’actionnaires, même pas d’héritiers, que du travail et de la créativité bien augmentée, puisqu’elle n’est ici ni limitée ni pillée. Ne plus rétribuer un capital, qui n’est en fait qu’un outil ; ne distribuer ni des biens ni des capitaux, mais des passions et des savoir-faire sont les meilleurs moyens de sortir de la servitude d’une part, et de recréer de la diversité d’autre part ; surtout qu’avec cette organisation, les besoins sont assurés puisqu’on a tous des revenus garantis à vie. Cela revaloriserait l’humain, le remettrait au centre de nos projets. Lire : Lucien Pfieffer : la fin du capitalisme... et après ? Publié chez Yves Michel en 2006.

Et même s’il y a toujours eu des marchés aux esclaves, même si on n’a toujours pas trouvé la parade sûre à la faiblesse humaine qui a si bien servi Robert Hersant pour passer à travers tous les barrages, (lire : Élisabeth Coquart · Philippe Huet : le monde selon Hersant, publié en 1997 chez Ramsay), on peut dire sans risque de se tromper que chaque type de société a les gens qu’elle mérite, suscite et produit. Chaque époque éveille des réflexes particuliers, des mœurs appropriées, inspire des voies nouvelles. Il est évident que des entrepreneurs comme lui penseraient autrement leurs envies dans la société apaisée que je vous décris. Ce sont des virtuoses de la gagne qu’il faut avoir dans son camp.

Et là, l’évidence saute aux yeux que ce nouvel art de vivre est bien plus agréable pour tous, y inclus pour les très riches qui bénéficient alors d’un environnement beau, sain et même confortable. Des sociétés heureuses ont existé durant des centaines d’années, comme à Tahiti par le passé, à tel point que les premiers navigateurs européens ont cru y avoir trouvé le paradis. Ici, on n’a inventé que la laideur des zones industrielles et commerciales, si nécessaires à la production de masse pour dégager les marges des exploiteurs ; et si j’ajoute les guerres et les pollutions, boaf, c’est minable.

Quant à la régulation de la population, elle sera plus aisée. Il est patent que les peuples au style de vie plaisant, ont bien moins d’enfants que ceux qui doivent assurer leur survie dans un milieu hostile. Mais le rêve a son mot à dire !

Nous en avons presque fini avec la première motivation, à savoir celle des malthusiens. Elle consiste à anéantir une grande partie de la production, à occuper les gens à des travaux inutiles et polluants, à détruire des populations pour produire moins et retrouver de la valeur, tout en trichant au maximum pour concentrer la monnaie dette en leur faveur ! Comme vu ci-dessus, les moyens utilisés sont nombreux ; et si on veut les décrire en détail, il y faut un livre entier.

Sans compter qu’on a eu les colonisations commerciales qui ont débouché sur la destruction des diversités, sur le pillage à outrance, sur la monnaie truquée pour asservir, sur l’acculturation pour vendre davantage, et même sur des zones d’esclavages durement policées et soutenues par de violentes dictatures. Sauf que si autrefois on se débarrassait des grognons sur des rivages lointains pour occuper de nouveaux espaces à coloniser, aujourd’hui c’est fini ! Les larrons n’ont plus de nouveaux lieux où planter leur drapeau. En plus les peuples épuisés se rendent compte que "un bon coup de balai", une "bonne guerre" ne sont que des fuites en avant, qui ne règlent jamais rien.

L’épisode Coronavirus, nous démontre que le couple ONU – OMS impose le plus sophistiqué des coups d’États jamais imaginés. Au vu de cet épouvantail on se prend à rêver que cet antique réflexe de pirate échoue, qu’il y a une autre société à inventer ; même si on subit encore "la bonne crise" que calculait en 1994 feu David Rockefeller, lequel professait que "la concurrence est un pêché" quand il rêvait à un état mondial capitalo - communiste réservé à ses entreprises !

En 2002, il écrit : « certains croient même que nous (la famille Rockefeller), faisons partie d’’une cabale secrète agissant contre les grands intérêts des États-Unis et ils se représentent ma famille et moi comme des internationalistes ; ils vont jusqu’à prétendre que nous conspirons avec d’autres capitalistes dans le monde pour construire une structure politique et économique mondiale plus intégrée ; un seul monde si vous voulez. Si c’est ça dont on m’accuse, je plaide coupable et j’en suis fier ».

On a donc une conspiration mondiale et même une cabale, puisque c’est lui qui le dit. Ce n’est pas contestable. C’est Page 475 de David Rockefeller, Mémoires, éditions de Fallois, 2006.

Et c’est un féroce depuis longtemps : dans ses commentaires sur Mao Tsé-Toung, cité dans le New York Times du 8 octobre 1973, ils se vante : « l’expérience menée en chine sous la direction du président Mao, est l’une des plus importante et des plus réussie de l’histoire humaine ». Donc des dizaines de millions de morts et des souffrances inouïes pour "une expérience » !!!

Mais dans le dernier Mitterrand de Georges Marc Benamou, Plon 1997, on lit : « La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort… apparemment. Oui, ils sont très durs, les américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde… C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, une guerre sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort » !

C’est fou, tout ce qui a été inventé pour saboter notre intelligence sociale ! Au bout du système des profiteurs, vous l’avez compris, il n’y a qu’une seule possibilité : la dictature pour mettre en place un système d’extinction en masse des producteurs. Le problème cette fois, c’est que cela touche aussi les gouvernements et les plus fortunés de la planète !!!

Continuons, il y a d’autres causes au désastre actuel à découvrir dans le volet spirituel.

Le volet spirituel

 

J’en ai fini avec le plan matériel. J’en conclus que soit on se remue vite fait, soit on va avoir des vies atroces sinon raccourcies. Mais c’est encore trop tôt pour désespérer, car on a le point de vue immatériel du même sujet à étudier, et il offre des solutions claires. Commençons par la base :

 

Mon âme

Voyons maintenant le pilier spirituel de l’arnaque au Coronavirus. Je réfléchis ici à ce qu’est l’âme, mais à la première personne du singulier. C’est ma réflexion du moment. D’abord, nul ne me dit : « mon âme m’aide en ceci ou cela ». Sa définition est floue. Du coup, je construis la mienne ; et celle qui me convient le mieux énonce : « l’âme n’est pas moi mais en moi. Elle est la porteuse d’un programme que je ne suis pas sûr d’avoir choisi ». Ce sont mon âme et ce logiciel du côté informationnel, qui pilotent les microzymas pour construire et entretenir la partie matérielle de mon corps ; mais ce sont ces mêmes milliers de milliards de "haltères" selon Antoine Béchamp, qu’on tue avec de la chimie. C’est comme si je purgeais les transistors de mon ordinateur sous prétexte d’hygiène ! Dès ma naissance, l’âme et le programme dictent de la Vie pour œuvrer ici dans les conditions prévues, puis stockent le résultat dans des mémoires.

L’âme n’est ni favorable ni défavorable, elle répond à ma demande. Autrement dit : si je refuse un acte, (la composition à l’école), elle copie un plan existant, genre la coqueluche, et l’envoie aux microzymas qui l’exécutent pour que je reste chez moi. Dans les autres domaines de la vie, elle peut créer ce qu’on lui demande, à condition que ce soit gravé sur sa carte : un accident, un succès, une heureuse synchronicité, ou suivre des thèmes mythiques : l’amour protecteur, la jeune fille persécutée, la protectrice inconnue, souffrir pour évoluer, le feu régénérateur, la lutte du bien contre le mal, le héros et le scélérat, le sauveur providentiel aux capacités surhumaines, le serpent qui se mord la queue pour excuser la mauvaise histoire qui se répète encore et encore, etc. On les clone sans y penser (Mircea Eliade mythes rêves et mystères, folio essais, page 35, 1957), à savoir que par économie, on reproduit plus ou moins bien, de très anciens modes de vies faciles à reconnaître, les romans à succès en sont farcis, qui survivent sous le nom d’archétypes, sans jamais progresser. On tourne en rond. Et de fait, si mon corps obéit au moindre de mes désirs, mon âme non … Elle suit un schéma possiblement vieux de millions de nos années terrestres, voire éternel. Ce n’est pas elle qui innove. Elle se fonde sur des trames, des aptitudes déjà jouées des millions de fois, y inclus pour les inventions et les coïncidences qui viennent à point nommé. Il n’y a ici que des probabilités, aucun avenir sûr et pas d’intelligence créatrice. C’est connu : on a lu l’histoire d’un roi qui a tout conquis, puis qui, quand il a voulu faire savoir qu’il était un géant en posant sa plaque de granit sur la montagne sacrée, il s’est aperçu qu’il y en a déjà des millions et pas de place pour la sienne.

C’est comme si notre galaxie était isolée du reste de l’Univers et la planète Terre sous diktats de fêlés, ou au-moins soumise à un système de contrôle jamais renouvelé. Ici, tu paies à l’infini des impôts pour te faire saccager à tes frais.

Ceci dit, le mystère de l’écriture dont certains textes jaillissent de nulle part, les inventions soudaines qui changent tout, à tel point qu’on passe d’une époque à une autre sans s’en apercevoir, me confirment que tout existe déjà,y inclus les lignes directrices de ce livre, mais dans le plus grand désordre et en très mauvais état. C’est le travail de l’écrivain de tout remettre en service, petit à petit, couche après couche ; et il en est de même de nos vies que d’autres ont suivies avant nous.

Ce qui nous est utile est déjà là. Aller chercher en dehors de soi, l’info souvent inadéquate et piégée, c’est notre principale erreur, surtout si on ne contrôle rien. La prière ne fonctionne pas. C’est une perte de temps, à cause du chaos spirituel dans lequel on puise par mégarde ; alors que ce qui est en soi est plus facile à adapter parce qu’on le connaît mieux et qu’on peut le perfectionner jusqu’à ce que cela nous convienne, puis le roder et le faire évoluer, avantage décisif.

Cela dit, on ne trouve ici que ce ce qui est intriqué, soit ce qui est en contact avec soi ; puisque tout ce qui s’est mêlé à un moment se rallie toujours à la demande, même de loin, selon notre perception des distances. Voilà ce que dit la mécanique quantique. C’est comme si notre inconscient qui mouline sans arrêt les mêmes pensées agrégées, servait à conserver vivante notre perception du monde ; pourtant si petite et si dérisoire qu’on ne peut s’en satisfaire. Or, en propulsant nos pensées sur d’autres rails, on change de pair notre perception du monde et la vie qui en découle. La maîtrise de notre imaginaire est donc vitale.

Surtout que dans cet univers explosé, on n’a pas accès à tout... et que c’est peut-être là, la source du besoin maladif d’espionner, plutôt que de lire en soi. Piller, plutôt que fignoler sa richesse est une stratégie qui abîme la société, car elle ne fournit que des indices, et en plus incomplets voire faux. Il vaut mieux apprendre à nous brancher sur notre intranet et laisser le sage qui est en nous choisir les meilleurs tuyaux ! Deux jeux de cartes sont bien utiles à ce sujet : Esprits de la nature de Alexis Szwed et Fabrice Tonnelier, publié par le Souffle d’Or en mars 2008, et les portes de l’Âme de Vianessa Mielczareck et Brigite Barberane publié par le Courrier du Livre en 2018 et en 2019. Ils nous aident à rentrer en nous pour explorer ce que nous sommes, et c’est passionnant. De plus c’est vital, car ce qui est ailleurs n’est pas notre route, on n’en a pas la carte ; et souvent ni le temps ni les moyens de vérifier et encore moins de réinterpréter. Et d’ailleurs, nul n’a besoin des mêmes outils au même instant : l’un veut réparer ses montures de lunettes, quant l’autre cherche un marbre pour équiper son coin pâtisserie ; sans compter que certains ne portent pas de lunettes et n’ont jamais besoin d’outils de précision. Croire que prendre à l’autre est la solution de facilité, c’est l’erreur la plus banale.

Mais l’infini nous fait rêver, on aimerait aller voir d’autres mondes, alors qu’on ne les connaît pas. Eh bien justement, page 495 de race humaine lève toi, David Icke fait dire à feu Carl Sagan, cosmologiste, qu’il voit notre univers comme une bulle. Vous êtes sûr qu’il n’y en a qu’une, de bulle, produite par l’explosion ? Moi, je ne prends pas le risque d’en estimer le nombre. Il y a de la place pour s’évader…

Mais ce qui est sympa sans aller si loin, c’est que les mises à jour que nous pratiquons par instinct, débouchent sur l’hérédité des caractères acquis pour évoluer. Or, on vient de voir que ce qui nous va bien n’est pas forcément idéal pour les autres et inversement. On a donc intérêt à bien étudier ce qui nous concerne. C’est ce que dit notre épigénétique individuelle qui enregistre les étapes de nos progrès. Et puis si le "ciel" peut nous catéchiser, on peut l’inspirer en retour puisqu’il est lié à nous par son jeu d’influence voire d’emprise, sinon ça n’a pas de sens. En plus, les découvertes, nouvelles fonctions et savoirs-faire sont héritables ; mais pour le moment c’est limité et orienté vers la production d’armes et autres pollutions, au-lieu de penser bien vivre ensemble.

 

OuroborosOuroboros, le serpent qui se mord la queue

 

Donc mon âme suit le plan choisi et j’interagis à ce vécu pour récupérer de l’info. Ma créativité apparente vient du programme qu’elle porte et auquel je suis lié, mais aussi de mes remises en état de la trame abîmée. D’un côté on a ce qu’on appelle la voie, le chemin ou encore le destin, voire la prédestinée, mais de l’autre on a le droit de tout chambouler si cela ne nous convient pas.

On a souvent l’image du serpent Ouroboros qui se mord la queue, et fait renaître ce qu’il veut quand il veut, mais dans des contextes différents parfois très éloignés ; et si on les reconnaît un peu, on n’en est jamais tout à fait sûrs. Ces éternelles resucées sont crispantes ; mais il ne sert à rien de râler quand cela ne nous plaît pas, cela ne produit que de la colère. Mieux vaut monter sur son petit nuage pour y rêver le meilleur, avant de se lancer dans un nouvel essai. On s’installe donc dans ce qu’on est, additionné d’un guide de contrôle. Exemple : je vis un calendrier "pas croyant". Arrive la fiction www.coronavirus.gouv.fr J’y réagis à ma façon préprogrammée de "pas croyant". Cette expérience produit des réactions qui sont autant d’informations. Elles sont enregistrées pour servir en d’autres circonstances.

On a donc les composants suivants pour que cette histoire produise une réalité supplémentaire :

Un programme "pas croyant" est implanté sur mon âme, parce que mes vécus antérieurs m’y prédis­posent. Le film du cov19 est projeté. Mes réactions sont enre­gistrées pour le bien être de ma lignée ; et si le soft ne me va pas, j’ai le droit de le modifier en cours de vie car c’est moi qui suis en ligne de front. C’est là qu’intervient mon libre arbitre. On évolue tous : on ne pense pas pareil de la naissance à la mort.

Notre âme planifiée conduit les 70 à 100 000 mille milliards de germes qui nous bâ­tissent, nous entre­tiennent et nous libèrent aussi de nos corps quant notre mission est achevée ou quand nos conditions de vie n’étant pas satisfaisantes, on veut en finir. Lorsque les télomères sont trop courts pour que nos gènes soient exprimés et que nos cellules ne peuvent plus se renouveler, ce qui interdit la vie, notre T° tombe sous les 32°C. Dès lors, ils débutent le reconditionnent notre corps en éléments neufs pour d’autres projets. Ils sont le début et la fin de notre organisme. Lavoisier a écrit : rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. C’est la loi de la chimie de la matière dans cet univers, mais pas celle de l’esprit et donc pas celle de notre Soi supérieur ni de notre âme qui sont de l’information pure.

Sans nos "germes" nous ne pourrions pas nous exprimer dans la matière et c’est idiot de les détruire, alors qu’on nous dit chaque jour de les tuer sous prétexte de contagion pas prouvée ! Les vaccins, détergents et autres "icides" rapportent beaucoup de monnaie dette, mais ils sont nos pires ennemis. C’est aussi ce qui me fait penser à un suicide collectif ; mais tout peut se réparer, une fois la prise de conscience avérée.

 

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Dieu

Et ce qui est le plus étonnant pour moi, c’est de voir la facilité avec laquelle ils font avaler un si gros os à des millions de gens. En fait, nul n’a jamais vu le méchant Coronavirus ! C’est la même chose que de croire en un dieu introuvable. Or, quand il suffit de lever les yeux pour voir des chemtrails ou un ciel bleu laiteux, au lieu du bleu-roi d’autrefois, on me répond : « quoi ? Mais on ne regarde jamais le ciel » !

C’est presque normal, puisque comme vous le comprenez plus loin, c’est la somme des rêves, forcément invisible, qui constitue ce qu’on appelle dieu ; ce qui classe au rang des imposteurs les prétendants terrestres au pouvoir suprême. Ce dieu là est la conscience collective de la totalité des énergies de cet univers. C’est à nous de l’embellir et pas l’inverse, comme nous l’exigeons de tout ce qui nous constitue, quant on réclame la santé parfaite ! Et d’ailleurs, on peut reformuler notre compréhension de la notion de dieu : je nous vois comme les constituants angoisséscar dispersés d’un organisme plus grand que nous et qu’on appelle Dieu, en souvenir de l'unité perdue que je vous explique plus loin. Explosé, il n’a plus de base cohérente et ne peut plus réfléchir à reconstituer son unité ! Il est incapable de penser son harmonie, sa puissance et sa beauté. Nous vivons la même situation que lui, quand nos cellules ne se sentent pas bien dans nos corps pollués et stressés, et qu’elles produisent un cancer. C’est douloureux et même mortel… Du coup, je pose ici une théorie pour justifier de notre aveuglement, la voici :

 

 

Le vrai Big Bang

 

 big bang

Le big bang officiel.png

 

On nous rebat les oreilles avec l’histoire du Big bang, alors que l’auteur du mot, l’astrophysicien Sir Fred Hoyle, ne croyait pas à cette idée et l’avait nommée ainsi par dérision. Il n’y a rien de sûr, d’autant que tout ce qui passe par nos cinq sens, et donc par ceux de nos scientifiques aussi, est très limité en capacité de perceptions. Et puis si la matière a explosé, l’information qui l’organise s’est dispersée aussi et c’est bon de le noter. Nous allons donc étudier ici une autre façon de voir la dite explosion :

 

On n’a aucun moyen de savoir ce qu’est l’Univers

On sait que notre œil ne reçoit que des ondes électromagnétiques qui sont portées par le nerf optique jusqu’à l’arrière du cerveau où un pack de neurones les traduit en images. Or, le spectre électro magnétique ne représente que 0,005 % du total des énergies. Et quand on nous dit que de ces 0,005 % on ne voit que la lumière visible, soit 340 parties sur 1013, on comprend vite qu’on est quasi aveugles. Et puis 80 % de nos sensations sont visuelles. Du coup, si on ne se réfère qu’à ce qui est transmis par notre vue, on nous fait croire ce qu’on veut.

Et là, on se dit que l’auteur du : « que la lumière soit et la lumière fut », ne nous a pas fait un cadeau, mais nous a imposé cette lumière très pauvre en données sur notre cadre de vie. Pareil pour le voleur du feu Prométhée, que les dieux ont puni pour cet acte soi-disant généreux alors que sa lumière cache le décor réel, qui du coup nous enferme comme des hamsters dans une roue. Et que dire de Lucifer, le porteur de cette lumière prison qui est fêté tous les quatre ans. La flamme olympique, ça vous dit quelque chose ? !!!

 

big bang, guide visuelphoto du livre Hatier

 

Malgré ça, je relis le guide visuel du Big Bang de Philippe Tamic publié chez Hatier. Tout y passe par l’image ; alors qu’elle n’est rien, comme on vient de le dire.

Alors jeinterprète ce big bang pour lui faire jouer son vrai rôle dans nos vies, puisque vous allez le voir, nous en sommes les acteurs ; car si j’ai viré mes croyances, c’est à cause de ma découverte de mon extrême cécité : jusque là, j’admettais la valeur de bien des leçons basées sur nos cinq sens, y incluse l’idée d’un créateur extérieur à nous ; mais je me disais que cette source devait être perverse pour développer un monde si con.

 

Donc, ma croyance périmée, je rebâtis une autre vision du monde :

Nos cinq sens nous trompent mais pas notre cœur. Exemple : l’amour n’est pas une décision prise dans le cerveau ouvert aux quatre vents : yeux, oreilles, nez et bouche et donc sensible aux mensonges, sinon c’est une association d’intérêts. Il n’est pas non plus une émotion qui naît au ventre et prévient de ce qui se passe, mais ne dit pas de solution. L’amour vient du cœur qui conduit à la paix de l’Unité. Il n’est pas produit par nous car il existe déjà. Il suffit de le laisser se déployer. En plus le cœur est intime, bien protégé en nous. On peut donc écouter sa petite voix quant elle dit : le Big Bang a été une gigantesque force de dispersion de la conscience primordiale, qui par le passé aattiré etliéen un seul élan, toutes les passions de l’Univers.

Depuis que le Cosmos informationnel et physique se sont éparpillés, plus rien ne se parle et c’est la source de nos malheurs. Cependant tout est resté conscient : les humains, les animaux, les végétaux, les minéraux, les champignons ; mais chacun avec sa vision et son langage propre à son groupe, lequel est incompréhensible des autres ; et l’évolution n’a rien changé à cet isolement.

Par conséquent, ceux qui pilotent ce monde sont comme nous, des êtres explosés ; il leur manque une partie d’eux-mêmes qu’ils puisaient avant dans le tout dont ils faisaient partie. Ils n’ont même plus d’accès facile à la conscience universelle, puisque l’Unité si rudement émiettée est bien moins sensible à son intranet. Et depuis que ça dure, certains se cachent pour nous exploiter, pendant que nous croyons que c’est la norme !

Éclairage insuffisant et Unité explosée font que nul ne peut se faire une idée de la réalité vraie. Il nous en manque une trop grande partie, avec en plus le sentiment d’une affection perdue. Et c’est pour ça qu’avec ou sans corps, l’on se sent en deuil, en demande non exaucée.

Car tout le monde est dérouté, depuis qu’au bang tout s’est brouillé : matières premières, couleurs de peau, monnaies, langues, métiers, races, taille et poids sont prétextes à des disputes, à des sectes et à des partis pris, à des guerres entre villes et pays, à des conflits entre mâles et femelles et riches contre pauvres. Séparation, éloignement et perte de repères nous mènent à l’ignorance ; et du coup, chacun dans son coin isolé "sait" que seule sa croyance est vraie, et qu’il a le droit de l’imposer aux autres pour sauver son monde, à coups de virus s’il le faut !!! La peur des expulsés et le désir de vengeance qui en résulte sont partout. Du coup, quand il nous vient une idée, il nous faut la noter, la contrôler et souvent la modifier afin de n’intégrer à notre système que ce qui va bien, mais le plus souvent l’oublier et même l’éjecter. Nos sources sont vraiment abîmées, un chaos total.

Par voie de conséquence, selon cette façon de penser il n’y a ni prédateur ni arnaqueur ni assassin ni voleur ni menteur ni tueur, ni archonte ni Satan ni diable, mais des êtres incomplets, trompés,égaréset effarés qui, dans l’état où ils sont aujourd’hui, n’ont aucune idée de ce qu’ils étaient avant l’explosion primordiale,tous différents mais tous utiles avant le grand boom !

 

La Cause des causes si chère à Étienne Chouard

Quel est le détonateur de la dispersion première, celle du fameux Big Bang ? Je suis tenté de vous dire qu’on a la réponse sous nos yeux : ce sont les perversions qui exigent un grand pouvoir, un pouvoir absolu de contrôle et de menace pour avoir le droit de les vivre (lire : l’heure du Grand Monarque a sonné, de Petit Jean, publié en 2010 chez Kyrollos). Les douze dieux primordiaux sont pervers !!! On le sait depuis des millénaires, et c’est confirmé dès qu’on lit un mythe ou un livre religieux. Avant ils étaient équilibrés par l’Unité. Ils ne le sont plus. Et on les a sous les yeux : le drapeau européen à 12 étoiles pour 27 états, les douze constellations du zodiaque, les douze heures du jour et de la nuit, les casiers de douze bouteilles, les douze enfants de Jacob, les douze mois de l’année, les douze coups de minuit, la croix occitane, la douzaine d’œufs, les douze apôtres, etc. Le livre des révélations en parle ainsi au chapitre 12 de l’Apocalypse : « un grand signe parut dans le ciel : une femme enveloppée du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête ». Il y a aussi les douze dieux de l’Olympe. Certains parlent de douze brins d’ADN initiaux, alors qu’on n’en a que deux. Faites vos recherches.

Sauf que le Paradis n’existe pas sans unité ; et que "de l’autre côté", c’est aussi cloisonné qu’ici. Ceux qui disent y avoir logé ont été leurrés et ça n’a pas duré, ils ont été éjectés et sont revenus éclatés en petits bouts dans notre enfer d’égarés. C’est pour ça que nous sommes de plus en plus nombreux à être dupés par les techniques truquées, visant à maintenir les abus des impurs.

Or pas de fusion pas de bonheur et nous ne pouvons compter sur un sauveur. Au cours des âges, on nous en a refilés des tonnes, ils n’ont aidé personne. Pire : soit on la retrouve vite, cette harmonie première, soit le fascisme des fainéants qui croient n’importe quoi, va imposer sa peste dans notre corps social qui n’en n’a déjà pas besoin. Et alors il ne nous restera plus qu’à nous dire, en voyant l’image du haut de ce chapitre, que l’expansion de la détresse va aller encore plus vite et plus fort.

Mais ce n’est pas non plus la peine de se raconter qu’on va monter nos vibrations au maximum pour sortir de ce monde ridicule et laisser les autres en plan ; car pour retrouver l’Unité, c’est tous ensemble qu’il faut vibrer.

 

Or là, viennent deux questions à priori bizarres :

- Pourquoi l’énergie – matière, supposée au départ tout à fait consciente, a-t-elle permis d’être changée en mensonges, en ignorance, en chimie destructrice, en armes de toutes sortes, puis ravagée par elles ? Cela ressemble à un suicide généralisé. Il n’y a pas que les douze dieux qui sont en faute.

- Cela vaut-il le coup de tenter un dialogue avec cette ressource bien malade dont on fait partie et qu’on nomme Dieu ?

 

Anton Parks

Quant à la croyance aux dieux, car dans la bible Élohim est le pluriel de Eloah, vous en avez une explication originale dans "Le Livre de Nuréa" de Anton Parks publié chez nouvelle Terre, et dont je vous fournis les points clés sur le blog : https://jesuisunraleur.canalblog.com sous le titre : "le livre de Nuréa est subversif". Il y raconte l’histoire des motifs qui ont conduit à la colonisation de notre planète ; celle des Mušidim (faiseurs de vie) qui créent des esclaves humains, serviteurs et guerriers, que détruisent leurs frères, les kingalam (king = roi en anglais). Ils sont organisés en monarchies ; et on les traite aussi de nobles, pas si nobles que ça, car nombre d’entre eux sont responsables de souffrances et de destructions dans tous les domaines de la Vie. Et là, vous comprenez pourquoi nous vivons dans un monde artificiel et esclavagiste, où l’humanité ne vaut pas mieux que les pucerons élevés par les fourmis pour les manger, mais que des coccinelles viennent brouter quand ça leur plaît. C’est à considérer… D’ailleurs, page 183 de Le livre de Nuréa, deuxième édition, on lit ceci au moment où le kingalam présente sa race des sang bleu :

Nous piétinons le temps imaginaire et démantelons vos créations depuis l’éternité. Vous n’êtes que poussière rêveuse croupissant en dehors de toute réalité. Après avoir éliminé la menace que vous représentez, nous emprunterons votre nouvelle fissure temporelle, pour pénétrer dans votre monde et le renverser. La disparition de votre monde nous sauvera tous.

Ce kingalam ne m’a pas convaincu de sa bonne foi, puisqu’il est tout à fait intolérant à d’autres formes de vies que la sienne. Il affirme mais ne prouve rien, ne montre pas la réalité dont il parle et n’a que la guerre comme mode d’expression ! Je ne dois pas être le seul à le classer dans les nuisibles, puisque malgré son éternel sabotage de notre mode de vie, qui selon lui met le sien en péril, nous gardons ardente notre envie de nous développer. Et puis j’ai du mal à voir où est la crédibilité des sang bleu quand ils se vantent d’être des aristocrates, alors que loin d’être les meilleurs animateurs du bien vivre ensemble, ils ne montrent aucun dévouement sûr à cette cause commune qu’ils méprisent tant et qu’ils vandalisent en permanence.

Les sang bleu sont la seconde cause du plan agenda 21, visant à détruire l'humanité.

 

On note ensuite la série de dégradations suivante : d’abord les luttes pour le pouvoir entre femelles, basées sur une science dogmatique erronée ; puis leur création du sexe des mâles pour imposer la reproduction sexuée à la place de la parthénogénèse, dont les représen­tantes les plus connues sont Sémiramis Isis et la Vierge Marie. Peu à peu, les mâles exigent du pouvoir et bien sûr cela débouche sur la guerre puis conduit à créer leur langage, l’emenita (page 61), en plus du jargon matrice des femelle, l’emesa, ce qui ne facilite pas les échanges, même si elles parlent les deux langues. Là, on en est à la création de pollutions mâles pour détruire la diversité créée par les femelles il y a des millions d’années. Mâle s’écrit en super positif : , tandis que femelle est super négatif avec la croix de la mort en-dessous : , alors qu’ici, c’est elle qui porte la vie ! Il nous faut bien admettre que les rôles des pouvoirsdominants, sont d’une stupidité absolue ! Ils sont la troisième cause du plan agenda 21, visant à détruire l’humanité.

 

Or, les courroies de transmission de ces pouvoirs sont les ambitieux.

Ils ont de lourdes obligations vis à vis de leur lignée (lire : Michel Pinçon et Monique Pinçon Charlot : Les ghettos du gotha, au cœur de la grande bourgeoisie, enquête publiée au seuil en 2010). En plus leur éducation les prédispose à ne jamais tenir compte de qui ils sont, mais à se comparer à l’autre. Ils ne savent rien de leur richesse intérieure, se sentent vides ; et du coup, seul le paraître compte. Il leur faut toujours plus de pouvoir, de gloire, d’argent et d’autres biens. Leurs valeurs sont mobiles, comme les pions de leur échiquier. Leur vie est stratégie. Et comme ils n’ont pas de direction, ils sont bien obéissants, de vrais larbins, voire des démagogues, car ils en rajoutent à leurs obligations pour se rendre intéressants, dans le cadre de la rivalité qui est organisée entre eux. Or, ils pourraient devenir des gens formidables, agir pour le bien commun, notamment en acceptant une monnaie équitable bâtie sur un invariant, comme le sont nos autres outils de mesure que sont le kilo le mètre, ou les T°. ETC.

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